Trou de sécurité Joomla, un serveur piraté

L’histoire commence par un trou de sécurité dans l’outil de CSM joomla que j’utilise sur certains sites. Ce bug permet à tout utilisateur sachant l’exploiter d’imposer une nouveau mot de passe à l’utilisateur administrateur du site pour faire simple. Le bug est identifié en version 1.5.x depuis le 1er Aout.
Un de mes sites a donc été attaqué vers le 14 Aout : un utilisateur a pris le contrôle d’un des site pour y poster son article sur son sentiment au sujet de la Russie.
Un second est passé sur le même site pour le fermer, tout en modifiant la message et ce ventant de ce magnifique acte de bravoure… A noté que n’importe quel gamin de 10 ans ayant connaissance de la procédure à suivre peut en faire autant … enfin !
La dernière attaque est d’hier (17 Aout) et m’aura permis de me rendre compte de la faille. Celle-ci, bien qu’utilisant le même procédé est beaucoup plus intéressante car mettant en œuvre une technique plus évoluée et ayant plus de conséquences sur mes sites.

Mon ami de Turquie est donc venu visiter l’un de mes site à partir d’une simple recherche google à partir de laquelle il identifie les site basés sur joomla et offrant la porte d’entrée adéquat. La méthode est simple, ingénieuse. Une fois entré, il profite des fonctionnalités de ce CSM permettant de modifier manuellement les templates pour injecter son propre code PHP à la place de celui du template par défaut. Il a ainsi plus placer une petit script PHP rigolo aux fonctionalités diverse : scan de fichiers avec sticky bit, recherche de fichiers, édition de fichiers, exécution de commande shell … Le tout heureusement limité au droits de l’utilisateur apache…. mais c’est déjà pas mal !
Au final, mon ami aura passé une dizaine de minutes, le temps d’installer sa tambouille puis de modifier tous les index.php de mes sites ouaib hébergés sur ce même serveur pour les remplacer par le sien, une bannière php statique se ventant de cet acte de piraterie à l’intérêt au combien inutile.
Vient alors le temps de la résolution et du retour à la normale … de quoi me remettre dans le bain apres 15j de vacances bien mérités… Toutes ses actions étant convenablement tracées dans les fichiers de log apache il restait à réaliser le retour en arrière puis à colmater les brèches. Je suis en général bien armé pour cela avec une batterie de backup… Mais lois de l’emmerdement maximal oblige, ceux-ci ne fonctionnaient plus depuis trop longtemps sur ce serveur pour être utilisable … bref une journée de galère pour une récupération complète, aux pertes près issues de mauvaises manipulations de ma part …

Au final, je tire quelques conclusions de cela:

  • Je suis conforté sur les risques liés à l’usage de CMS qui nécessitent d’être à même de patcher à tout moment les sites ainsi construits. Cette manip n’étant pas évidente dès que la version en ligne est un peu trop ancienne ou que des éléments ont été modifiés suite à une adaptation du site. Un développement custom, même s’il possède des trous de sécurité ne sera victime que d’une attaque ciblée et non de ce type d’attaque hasardeuse
  • L’utilisateur apache ne devrait pas avoir de droits d’écriture sur aucun des fichiers / répertoire ; seulement, avec tous les automatismes offerts par les site ouaib actuels (installation de modules, templates) il est difficile de réaliser cela sans se priver de certaines fonctionnalités. Je tire donc comme conclusion que l’usage d’un CMS, entre autre doit passer par une étude approfondie des droits à affecter à chaque fichiers/rep avant une monté en production.
    Je pense d’ailleurs que les CMS devraient intégrer des scripts de protection et de dé-protection des fichiers par exemple, ou prévoir que certaines opérations soient réalisées en sudo avec un autre utilisateur que apache. En tout cas, il vaut mieux désactiver des fonctionnalités que de perdre un site suite à un crack.
  • Enfin il est vraiment nécessaire de vérifier ses backup à une fréquence suffisante … en vérifiant qu’ils puisse bien être décompressés et qu’ils sont donc utilisable.

Voici donc quelques pensés sur la forme suite à cette attaque … Sur le fond, je ne cesse de considérer qu’il n’y a aucun héroïsme à utiliser des failles trouvées par d’autres, pas plus que de taguer un mur, ça n’exprime rien de plus que lorsqu’un chien pisse sur un lampadaire et la première pluie emmènera tout avec elle. Le seul Hacker est celui qui trouve – invente la faille par la lecture du code ou l’analyse du protocole, il n’a pas besoin d’en faire l’illustration sur l’espace public pour que son travail soit reconnu.

Tutoriel Ajax – Création d’un diaporama

(‘Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Dans cet article, je vais vous montrer comment réaliser un diaporama en Ajax. Pour cela je vais utiliser trois langages: le HTML, du JavaScript ainsi que du PHP.
Le code du diaporama est scindé en 3 fichier: galerie.html, galerie.js et galerie.php.
Le premier est la page web contenant la mise en page avec les différents évènements possibles tels que le clic sur la flèche précédente ou suivante.
Voici son code avec des explications:
—————————————

<!DOCTYPE html PUBLIC “-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN”>
<html>
<head>
<meta content=”text/html; charset=ISO-8859-1″
http-equiv=”content-type”/>
<!– On inclut notre future fichier JavaScript –>
<script type=”text/javascript” src=”/ajax/galerie.js”></script>
<title>galerie</title>
</head>

<body style=”background-color: rgb(170, 0, 0);”>
<h1 style=”text-align: center;”>GALERIE D’ IMAGES</h1>
<hr />
<!– Voilà l’endroit où le résultat sera affiché, reconnu dans notre futur fichier JavaScript par son id. Pour le moment, on affiche rien. –>
<div style=”background:black; text-align: center” >
<br /><br />
<img id=”i_pred” src=”/ajax/pred.png” onClick=”javascript:galerie=pred()” style=”cursor:pointer”/>
———-
<img id=”i_suiv” src=”/ajax/suiv.png” onClick=”javascript:galerie=suiv();” style=”cursor:pointer”/>
<br />
<img id=”image” src=”/ajax/start.jpg”/>
<br /><br />
</div>
<hr />
<script type=”text/javascript” >galerie=suiv();</script>
</body>
</html>

—————————————

Ce sont les fonctions pred et suiv, appelées une fois qu’une flèche a été cliquée, qui modifieront l’image. A la fin du body, on appel la fonction suiv pour initialiser l’image.

Jetons un coup d’oeil dans le fichier JavaScript:

—————————————

/*
Fonction qui crée un objet XHR.
Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”
*/

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */
var galerie =-1;

function creerRequete() {
try {
requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */
} catch (microsoft) {
/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);
} catch(autremicrosoft) {
/* Autre méthode si la première n’a pas marché */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);
} catch(echec) {
/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/
requete = null;
}
}
}
if(requete == null) {
alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);
}
}

function pred()
{
creerRequete();
galerie –;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}

function suiv()
{
creerRequete();
galerie ++;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}
—————————————

On initialise la variable galerie. Elle servira d’index.
Comme vous pouvez le voir, nos fonctions pred et suiv ont un code similaire.
Chacune effectue la création de l’objet XHR en appelant la fonction creerRequete.
Puis elles incrémentent ou décrémentent la variable relative à l’identifiant de l’image.
On construit ensuite l’URL, les arguments seront passés par la méthode GET.
On initialise la fonction de renvoi d’information.
On teste si on est au début du diaporama (galerie = 0) ou si on est a la fin (la requête retourne rien).
Si l’on est dans le cas optimal, on affiche la nouvelle image.
On retourne la variable galerie à la page HTML.
Pour comprendre la totalité du diaporama, il faut ensuite regarder le code qui sera exécuté sur le serveur : galerie.php

—————————————

<?php
/*
On vérifie que le paramètre GET est bien présent
*/
function isnotpoint($var)
{
return $var!=”.” && $var !=’..’;
}

if(isset($_GET[‘image’]))
{
$image = $_GET[‘image’];
$image = abs($image);
$tableau = scandir(‘./img/’);
$tableau = array_filter($tableau,”isnotpoint”);
$nbimage = count ($tableau);
$image = ($image%$nbimage)+2;

echo $tableau[$image];

}
else
echo “Erreur GET”;
?>

—————————————

L’algorithme de ce code est le suivant:
On vérifie que le paramètre image est présent. On prend la valeur absolue de notre paramètre, ceci est utile lorsque l’index est inférieur à zéro. Si c’est le cas on utilise la fonction scandir et on stocke le résultat dans la variable tableau. La fonction scandir est très utile dans ce cas, en effet elle va retourner chacun des fichiers du dossier mais aussi un “.” et “..”, c’est pour cela que l’on utilise la fonction array_filter qui va les enlever du tableau. La fonction count permet de retourner le nombre d’éléments du tableau. On effectue un modulo de l’index avec ce nombre, et on ajoute 2. En effet, la fonction array_filter ne créer pas un nouveau tableau, mais efface juste les éléments correspondant à la recherche, C’est pour cela qu’il faut penser que les deux premiers éléments du tableau sont vides et ajouter 2. On retourne par la suite l’élément voulu.

Voilà, ce tutorial est terminé, vous pouvez à présent créer un diaporama utilisant Ajax pour votre site web.

 

Tutoriel Ajax – Infobulle

(Article rédigé par un groupe d’étudiant d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Voici un tutorial qui permet lorsque l’utilisateur passe la souris au dessus d’un mot définie a préalable, d’afficher dans une bulle un texte, une image ou ce que l’on veut.

On peut ainsi utiliser ce principe pour donner la signification de certains mots, ou même pour un lien afficher dans la bulle la première phrase de la page cible du lien.
Dans cet exemple les mots et leur significations ce trouvent dans le fichier xml.

Voici le fichier html :

<html>

<head>

<link rel=”stylesheet” type=”text/css” href=”/ajax/bulle.css” media=”all” />

<script type=”text/javascript” src=”/ajax/bulles.js”></script>

</head>

<body>

<div id=”curseur”></div>

Mot :<br />

Connaissez vous l'<span onmouseover=”javascript:affbulle(this)” onmouseout=”javascript:cache()”>ajax</span> ?<br />

C’est un concept <span onmouseover=”javascript:affbulle(this)” onmouseout=”javascript:cache()”>informatique</span> !<br />

Retour à la ligne

</body>

</html>

Explication : On peut remarquer les balises <span>, ce sont elles qui vont nous servir pour récupérer le mot associé à la définition ;

Deux fonctions JavaScript vont être appelés :

-affbulle va servir pour charger la définition du mot et afficher la bulle lorsque le mot est survolé.

-cache va comme son nom l’indique masquer la bulle lorsque la souris ne se trouve plus sur le mot concerné.

On peut se demander a quoi va servir la balise <div>, c’est tout simplement la déclaration de la bulle.

 

Voici le fichier css associé :

.infobulle{

position: absolute;

visibility : hidden;

border: 1px solid Black;

padding: 10px;

font-family: Verdana, Arial;

font-size: 10px;

background-color: #FFFFCC;

}

 

.lienbulle{

color: #0000ff;

cursor: help;

text-decoration: underline;

}

 

Rien de particulier, infobulle concerne la bulle et lienbulle concerne le mot en question.

 

Voici maintenant le fichier xml :

 

<?xml version=”1.0″ ?>

<root>

<ajax>Texte correspondant a l’Ajax</ajax>

<informatique>Texte correspondant a l’informatique</informatique>

</root>

 

Il suffit de créer la balise <nom> (nom étant le mot qui va être décrit), puis entre cette balise ouvrante et la balise fermante, on placera la description qui apparaîtra dans la bulle

 

Attaquons nous maintenant au fichier JavaScript :

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR.

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

 

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

 

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les objets XMLHttpRequest.’);

}

}

 

Pour l’instant, nous avons le même code que pour l’implémentation.

 

function GetId(id)

{

return document.getElementById(id);

}

var i=false; // La variable i nous dit si la bulle est visible ou non

 

function move(e) {

if(i) { // Si la bulle est visible, on calcul en temps reel sa position idéal

if (navigator.appName!=”Microsoft Internet Explorer”) { // Si on est pas sous IE

GetId(“curseur”).style.left=e.pageX + 5+”px”;

GetId(“curseur”).style.top=e.pageY + 10+”px”;

}

else {

if(document.documentElement.clientWidth>0) {

GetId(“curseur”).style.left=20+event.x+document.documentElement.scrollLeft+”px”;

GetId(“curseur”).style.top=10+event.y+document.documentElement.scrollTop+”px”;

} else {

GetId(“curseur”).style.left=20+event.x+document.body.scrollLeft+”px”;

GetId(“curseur”).style.top=10+event.y+document.body.scrollTop+”px”;

}

}

}

}

 

La fonction qui précède ce charge de la position de la bulle par rapport au curseur

 

function montre() {

if(i==false) {

GetId(“curseur”).style.visibility=”visible”; // Si elle est cachée (la verification n’est qu’une sécurité) on la rend visible.

i=true;

}

}

 

La fonction montre() va simplement rendre visible la bulle.

 

function cache() {

if(i==true) {

GetId(“curseur”).style.visibility=”hidden”; // Si la bulle est visible on la cache

i=false;

}

}

 

A l’inverse cache() va masquer la bulle.

 

function affbulle(src) {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, ‘test.xml’, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

 

/* On récupère le contenu de notre fichier */

var xml = requete.responseXML;

document.getElementById(‘curseur’).innerHTML = xml.getElementsByTagName(src.innerHTML).item(0).firstChild.data;//c’est ici que l’on charge la définition du mot

 

}

}

}

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

montre();

}

document.onmousemove=move; // dés que la souris bouge, on appelle la fonction move pour mettre à jour la position de la bulle.

 

Cette fonction va donc accéder au fichier xml et charger la définition du mot et la retourner au ‘curseur’ pour qu’il affiche le tout dans la bulle.

Le ‘src.innerHTML’ correspond au mot qui se trouve dans le fichier html entre les balises span, ce mot doit être identique a la balise du fichier xml contenant la définition, il servira par conséquent d’identifiant.

Reparation Raid hardware sur carte nVidia

Comme évoqué dans un autre post, j’ai eu l’occasion ce jour de remonter un raid mirroring dont l’un des disque a rendu l’âme.
J’espérai cette manip transparente avec l’outil du bios, j’imaginais celui-ci re-clonant les disques … et bien non. sachez, amis LINUXIENS que dans une telle situation, il faudra installer un Windows pour lancer l’utilitaire nVidia vous permettant de procéder à la reconstruction. Ce n’est pas très long à condition d’avoir un disque en rab et les install du dit OS …
Bref, pour ma part, la prochaine réinstalle se fera avec un soft RAID Linux dont l’usage est finalement plus simple. Dommage car à la création ce mirroring nVidia etait très pratique..;

Quand tout va mal… tout va mal !

En terme de backup je suis plutot parano, non pas que mes données aient beaucoup de valeur, mais plutôt qu’il compter pas mal de temps pour les reconstituer et que je n’aime pas forcement me retrouver en mode gestion de crise pour mes sites perso… bref, j’ai additionné plusieurs systèmes de sécurité et mes données sont donc sur 3 disques : 2 en raid 0 + 1 de backup contenant des archives compressés… On se dit toujours que ceci est superflus et que l’une des deux solutions suffiraient amplement, jusqu’au jour comme celui lui ou après 5 ans de bons et loyaux service l’un des disques rend l’âme et que ce même jour le NAS stockant les backup décide lui de l’accompagner après 4 ans de fonctionnement. une retraite bien mérité pour ces éléments, je n’ai pas forcement à me plaindre… mais le même jour, il faut l’avouer, c’est tout de même l’expression qu’au hasard il ne faut jamais négliger l’addition de la lois de l’emmerdement maximum.
J’ajoute que bien entendu, il n’est pas question de surtension ou quoi que ce soit, mais bien de morts la mort naturelle de ses composants, l’un d’eux ayant déjà montré quelques signes de faiblesses.
Au final je ne regrette pas mes solutions en place qui ont fonctionné : 2 vis enlevées plus tard, la machine repartait … reste à réparer maintenant.

Tutoriel Ajax – Onglets

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Dans ce tutoriel nous allons voir comment mettre en œuvre une page avec divers onglets.

Les pages qui seront spécifiques à un seul onglet seront sauvegardées dans une base de données.

Nous verrons les différents fichiers utiles à cette application tel que :

-un fichier CSS pour la mise en forme de la page principale

-un fichier HTML pour la page principale qui contient nos onglets

-un fichier JS pour l’utilisation des technologies Ajax et le chargement du contenu des onglets

-un fichier PHP pour l’accès à la base de données

 

 

DEMO .HTML

Voici notre page html :

 

<!DOCTYPE html PUBLIC “-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN” “http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd”>

<html xmlns=”http://www.w3.org/1999/xhtml”>

<head>

<title>Onglet</title>

<meta http-equiv=”Content-Type” content=”text/html;charset=utf-8″ />

<!–on fait reference au fichier CSS pour la mise en page –>

<link href=”/ajax/onglet.css” type=”text/css” rel=”stylesheet” media=”all”/>

<!–on fait reference au fichier javascript pour les fonctions –>

<script type=”text/javascript” src=”/ajax/onglet.js”></script>

</head>

 

<body>

<!—on déclare le cadre qui contiendra les onglets et la page qui sera affichée–>

<div id=”onglet”>

< !–ce cadre contiendra seulement les différents onglets et on leurs associe la fonction loadonglet avec en paramètre le numéro de la page à charger –>

<ul id=”menu_onglet”>

<li><a href=”javascript:loadonglet(1)”>premiere page</a></li>

<li><a href=”javascript:loadonglet(2)”>deuxieme page</a></li>

<li><a href=”javascript:loadonglet(3)”>troisieme page</a></li>

</ul>

<!–le cadre contiendra la page qui sera affichée–>

<div id=”page”></div>

</div>

</body>

</html>

 

 

ONGLET .CSS

Le fichier CSS sert à la mise en forme de la page avec : une partie qui contiendra les différents onglets et une partie qui contiendra le contenue de la page qui sera chargé.

body {

font-size:12px;

color:#333;

padding:10px;

}

ul li {

list-style-type:none;

margin-left:10px;

}

/*** Onglets */

div#onglet {}

div#onglet ul#menu_onglet {

list-style-type: none;

margin: 2px 0px;

padding: 0px;

}

/*** Listes des onglet */

div#onglet ul#menu_onglet li {

display: inline;

}

div#onglet ul#menu_onglet li {

border-top: 1px solid #ccc;

border-left: 1px solid #ccc;

border-right: 1px solid #ccc;

background:white;

padding: 4px 12px 2px 12px;

}

div#onglet ul#menu_onglet li:hover {

border-bottom: 1px solid #fff;

cursor:pointer;

}

/*** Contenu des onglet */

div#onglet div#page {

padding: 10px;

width:550;

border-top: 1px solid #ccc;

border-left: 1px solid #ccc;

border-right: 1px solid #ccc;

border-bottom: 1px solid #ccc;

}

 

Onglet.js

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR.

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

 

/* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

var requete = null;

function creerRequete() {

try {

/* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

requete = new XMLHttpRequest();

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);

}

}

 

 

function loadonglet(num) {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

/* On construit à l’avance notre URL en passant les parmètre en GET. Le paramètre sera le numéro de l’onglet qui est cliqué possédant l’identifiant ‘num’. */

var url = ‘onglet.php?onglet=’+num;

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘page’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange= function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘page’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

 

ONGLET .PHP

 

Notre base de données contient une table nommée « baseonglet » qui contient deux champs :

Un champ nommé « num » qui est la clé primaire qui correspond au numéro de la page

Un champ nommé valeur qui correspond au contenue de la page qui porte le numéro « num »

Pour cette exemple notre table contenait 3 lignes :

Num Valeur
1 Ceci est la page n°1
2 Ceci est la page n°2
3 Ceci est la page n°3

 

 

<?php

//on récupère le numéro de la page à charger qui est passé en paramètre par la méthode GET

$num=$_GET[‘onglet’];

//on se connecte à la base de donnée

$SQL = mysql_connect(‘localhost’,’root’,”) or die (“erreur de connexion”);

//on selectionne notre base qui se trouve dans notre base de données contenant nos pages .

mysql_select_db(‘baseonglet’,$SQL) or die (“erreur de connexion base”);

//on retourne la valeur (qui correspond au contenue de la page numéro ‘num’) contenue dans

//la table liste page

$result=mysql_query(“SELECT valeur FROM listepage where num=”.$num);

$val=mysql_fetch_array($result);

//on affiche le contenue

echo $val[“valeur”];

mysql_close();

?>

 

Nous avons pu voir dans cet exemple qu’il est très simple de mettre en œuvre un site ou tout simplement une page internet avec plusieurs onglets permettant de rafraichir que le cadre qui contient le texte de nos divers onglets.

Bien évidement il faut pour cela connaitre les langages PHP et JavaScript.

Opensuse 10.3, problem d’ouverture de session X multiples

Vous savez, le bouton, lorsque l’on est sur l”ecran ce veille, qui permet à une autre utilisateur d’ouvrir une session … et bien sur ma Suse 10.3, il a disparu !!! etrange phénomène ! Pour corriger celà, j’ai du éditer le fichier /etc/X11/xdm/Xservers pour y ajouter les lignes suivantes:
:1 local reserve /usr/bin/X -nolisten tcp -br vt8
:2 local reserve /usr/bin/X -nolisten tcp -br vt9
J’ai ensuite créé un lien symbolique de ce fichier vers /opt/kde3/share/config/kdm/

Utilisation de SSHFS – montage au travers de ssh

SSHFS est une nouvelle façon de monter des partitions réseau. Par rapport à nfs, sshfs à l’avantage de ne nécessiter aucune configuration coté serveur et de pouvoir être utilisé en mode utilisation avec le mode fuse (file system in user mode)

Pour utiliser sshfs, il faut l’installer ainsi que fusermount ce sont en général deux paquets fournis avec les installs de Linux.
L’usage est ensuite simple : coté client, il faut taper une commande comme suit pour monter un répertoire:
sshfs user@serveur:/repertoire mountPoint Le répertoire répertoire sera alors monté dans “mountPoint”.
Le démontage se fait avec la commande : fusermount -u moutPoint

Coté débit, mes tests sur réseaux donnent 5.3MB/S alors que nfs me donne 10Mb/s environ. Les données sont toutefois cryptées, ce qui peut être considéré comme un plus.

Pour que cvs soit utilisable sur un répertoire monté avec sshfs, il faudra que les options -oreaddir_ino -o workaround=rename lors du montage.