Autocompletion

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Tout d’abord nous allons expliquer ce qu’est une autocompletion :

Une autocompletion et une action qui s’effectue sur un champ de texte.

Par exemple : Imaginez une secrétaire qui recherche le nom d’un employé, elle doit taper son nom dans un champs. Donc une solution pour rendre plus rapide et plus agréable la saisie a été de proposer une liste de nom au fur et a mesure que le nom est tapé.

Cette solution offre un autre avantage, si un utilisateur ne connaît que le début du mot, il pourra aisément retrouver la suite.

L’autocompletion propose donc une liste selon différent critère de sélection définie a l’avance tel que les mots les plus populaire, ou simplement par ordre alphabétique (le plus communément utilisé).

 

Avant de commencer, il est conseillé aux personnes qui connaissent peu l’Ajax de consulter l’article sur l’implémentation.

 

Dans un premier temps nous allons aborder une méthode qui propose une liste de mots en dehors du champ de saisie.

Ici, le critère de sélection de la liste est l’ordre alphabétique.

La liste des mots proposés est contenue dans un tableau, mais on peut très bien imaginer de se servir dans une base de données.

 

Le fichier JavaScript est le même que celui pour l’implémentation, le fichier html dérive lui aussi de l’exemple précédent.

 

Voici le formulaire html :

<?xml version=”1.0″ encoding=”iso-8859-1″?>

<!DOCTYPE html PUBLIC”-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN”

“http://www.w3.org/TR/xhtml1-transitional.dtd”>

 

<html xmlns=”http://www.w3.org/1999/xhtml” xml:lang=”FR” lang=”FR”>

<head>

<script type=”text/javascript” src=”/ajax/autocomplete.js”></script>

</head>

<body>

<form name=”saisie” method=”GET” action=”javascript:verifier()”>

<!–c’est ici que l’ajout de caractère appelle la fonction d’autocompletion, l’argument “onKeyUp” est l’évènement de relâcher une touche. –>

Mot : <input type=”text” onKeyUp=”javascript:verifier()” id=”mot” size=”20″ /><br />

<input type=”submit” value=”Envoyer” />

</form>

<p id=”resultat”></p>

</body>

</html>

 

Le fichier JavaScript :

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR.

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requête”

*/

 

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

 

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);

}

}

 

function verifier() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les paramètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘mot’. */

var url = ‘autocompletion.php?mot=’+document.getElementById(‘mot’).value;

 

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘résultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

Maintenant, attaquons nous au fichier php :

NB: Tous les caractères sont au format UTF8 pour ne pas avoir de problèmes pour l’affichage des caractères spéciaux.

 

<?php

 

header(‘Content-Type: text/xml;charset=utf-8’);

echo(utf8_encode(“<?xml version=’1.0′ encoding=’UTF-8′ ?><options>”));

if (isset($_GET[‘mot’])) {

$debut = utf8_decode($_GET[‘mot’]);

} else {

$debut = “”;

}

/*La variable $debut contient les caractères qui ont été saisie dans le champs de texte*/

$debut = strtolower($debut);

/* la variable $liste contient tous les mots qui vont être proposé pour la saisie

Ici la liste a été coupé pour éviter de polluer ce tutorial*/

$liste = array(“abeille”,”abricot”,”acheter”,”acheteur”,”adjectif”,”adroit”,”adroitement”);

 

 

/*La fonction qui suit va sélectionner dans la variable $liste tous les mots qui commencent par les caractères contenues dans $debut*/

 

function expreg($debut,$liste) {

/*On définie le nombre de mot maximum a proposer*/

$MAX_RETURN = 10;

$i = 0;

foreach ($liste as $element) {

if ($i<$MAX_RETURN && substr($element, 0, strlen($debut))==$debut) {

echo(utf8_encode(“<option>”.$element.”<br/></option>”));

$i++;

}

}

}

 

/*on appelle la fonction*/

expreg($debut,$liste);

 

echo(“</options>”);

?>

 

Maintenant voyons un exemple qui ne va plus proposer une liste, mais va compléter le mot tapé par la plus probable proposition correspondante :

 

Il suffit de remplacer :

function verifier() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les paramètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘mot’. */

var url = ‘autocompletion.php?mot=’+document.getElementById(‘mot’).value;

 

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘résultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

Par :

 

var nouveaumot;

var ancienmot;

var tailleNvMot;

var tailleAncMot=0;

function verifier() {

 

nouveaumot=document.getElementById(‘mot’).value;

tailleNvMot=document.getElementById(‘mot’).value.length;

if((ancienmot!=nouveaumot) && (tailleNvMot>tailleAncMot))//on test pour savoir les changements du champs

{

ancienmot=nouveaumot;

tailleAncMot=tailleNvMot;

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les parmètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘pass’. */

var url = ‘autocompletion.php?mot=’+document.getElementById(‘mot’).value;

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘resultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

var proposition=requete.responseText;

if (proposition!=”” && nouveaumot!=” “){

//Le code qui suit va servir pour mettre a la suite des lettres tapé par l’utilisateur, la fin du mot proposé

var taillemot=document.getElementById(‘mot’).value.length;

document.getElementById(‘mot’).value = proposition;

//Le code qui suit va servir pour sélectionner la partie du mot qui nous intéresse (afin que si le mot ne soit pas le bon, la saisie remplace la proposition au fur et a mesure sans gêner la saisie)

var taillemot2=(document.getElementById(‘mot’).value.length);

selectPart(document.getElementById(‘mot’),taillemot,taillemot2);

}

 

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

else{

tailleAncMot=document.getElementById(‘mot’).value.length;

}

}

function selectPart(o,taillemot,taillemot2)

{

// Moz Support

if (o.selectionStart && o.selectionEnd)

{

o.selectionStart = taillemot; // début de la sélection

o.selectionEnd = taillemot2; // fin de la sélection a partir du début

return;

}

// IE Support

var oRange = o.createTextRange();

oRange.moveStart(“character”,taillemot); // début de la sélection

oRange.moveEnd(“character”,0); // fin de la sélection partir de la fin

oRange.select();

}

 

Maintenant l’autocomplétion se fera directement dans le champ texte !

Une autre solution serait de placer les mots dans une base de donnée, et utiliser un script PHP pour aller fouiller dans celle-ci.

Formulaire dynamique

(Article rédigé par un groupe d’étudiants DUT dans le cadre d’un projet tutoré)

En remplissant des formulaires sur le web, vous avez dû remarquer que certains vérifiaient le contenu de vos champs pendant que vous les remplissiez.

Ce petit tour de magie est principalement issu du JavaScript, mais y inclure de l’Ajax peut le rendre bien plus intéressant.

Pour ce tutorial nous allons construire un formulaire qui détecte si le pseudonyme demandé n’est pas déjà pris, et comme nous aimons la difficulté, nous allons le faire avec un fichier XML 🙂

Contenu de “login.xml” :

 

<?xml version=”1.0″ ?>

<root>

<login>nico</login>

<login>pierre</login>

<login>sylvain</login>

<login>damien</login>

</root>

 

Nous avons donc quatre inscrits. Chacun des pseudonymes se trouve dans une balise “login”. Maintenant, rédigeons notre mini-formulaire dans une page html, “inscription.html” :

 

<html>

<head>

<!– On inclut notre future fichier JavaScript –>

<script type=”text/JavaScript” src=”/ajax/inscription.js”></script>

</head>

<body>

<!–

Notre formulaire ne lance pas de script, il s’agit juste d’une démonstration de la gestion dynamique du formulaire.

–>

<form action=”JavaScript:alert(‘Pas de script d\’inscription, la démo concerne juste la gestion dynamique du formulaire !’)”>

<!—-

Notre balise de login.

–>

Login : <input type=”text” onKeyUp=”JavaScript:verifierlogin(this)” /> <span id=”logintext”></span><br />

<!—-

Notre submit qui ne sert strictement à rien dans l’exemple.

–>

<input type=”submit” value=”Inscription” />

</form>

</body>

</html>

 

Explications :

Vous avez certainement remarqué un étrange attribut possédé par le champ : “onKeyUp”. Il s’agit d’un évènement qui se déclenche dès qu’une touche est relâchée, si le curseur est dans le champ. On associe à cet évènement le code la fonction “verifierlogin(this)” qui sera la présente dans notre super fichier JavaScript inclus en en-tête. Elle vérifiera si le login du champs actuel (nous passons “this” en argument) est bon, et enverra le résultat dans la balise <span id=”logintext”></span> présente juste après le champ.

Passons d’ailleurs tout de suite à la rédaction de ce script, “inscription.js” :

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR, rébarbative mais indispensable…

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les objets XMLHttpRequest.’);

}

}

/*************************************************/

/*

Notre fabuleuse fonction de vérification du login

*/

function verifierlogin(src) {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, ‘login.xml’, true);

/* On initialise la fonction de renvoi d’information */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

/* On récupère le contenu de notre fichier */

var xml = requete.responseXML;

/* On regarde chaque entrée du fichier XML jusqu’à soit trouver un login identique, soit arriver à la fin */

var temp=”;

for( i=0 ; temp.toUpperCase()!=src.value.toUpperCase() && xml.getElementsByTagName(‘login’).item(i)!=null ; i++ )

temp = xml.getElementsByTagName(‘login’).item(i).firstChild.data;

/* Si la boucle précédente a trouvée un pseudo identique, on écrit dans “logintext” que ce le pseudo n’est pas disponible, sinon l’inverse ! */

if( temp.toUpperCase() == src.value.toUpperCase() )

document.getElementById(‘logintext’).innerHTML = src.value+’ <font color=\’#ff0000\’>est déjà pris</font>’;

else

document.getElementById(‘logintext’).innerHTML = src.value+’ <font color=\’#00cc66\’>est disponible</font>’;

/* Si le champs est vide, effacer “logintext” */

if(src.value==”)

document.getElementById(‘logintext’).innerHTML = ”;

}

}

}

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

Note : La méthode “toUpperCase()” permet de mettre en majuscule la chaîne de caractère sur laquelle elle est appliquée. Grâce à cette méthode notre comparaison est insensible à la casse (tout est forcé en majuscule).

La seule véritable difficulté du script est de comprendre comment explorer le fichier XML avec les fonctions JavaScript qui vont bien. Petit mémo :

requete.responseXML : Récupére le contenu du fichier XML en cours.

xml.getElementsByTagName(‘monSuperTag’) : Renvoi la liste des balises <monSuperTag>contenu</monSuperTag>.

xml.getElementsByTagName(‘monSuperTag’).item(X) : Renvoi la Xième balise ‘monSuperTag’.

xml.getElementsByTagName(‘login’).item(i).firstChild.data : Renvoi le contenu de la Xième balise ‘monSuperTag’.

Et voilà ! Le script fouille dans le fichier XML et compare avec la valeur du champ. Une variante pour faire moins d’appel au serveur consiste à mettre “onChange” au lieu de “onKeyUp” dans le fichier HTML : La vérification ne se fera pas à chaque appuie de touche mais à chaque fois que le curseur quittera le champ après l’avoir modifié. Utile si vous avez beaucoup d’inscrits !

Alimentation FORTRON ZEN 300W fanless – 0db – silence !

Bon, je vous en ai parlé par ailleurs, mais cette alimentation Fortron Zen 300W mérite bien un petit billet. Il s’agit une alimentation de 300W SILENCIEUSE !! Une fan-less comme on dit aussi … donc 0db de bruit émis, le pied !
Cette alim offre un look agréable avec sa couleur bleue, on ne peut que lui reconnaître une finition de qualité. Par rapport à  bon nombre d’autres alimentation fanless, elle a l’avantage de ne pas avoir d’énorme radiateur sur l’arrière, qui, sortant du boîtier pourrait poser des soucis d’intégration. L’alim Fortron Zen offre 2 connecteur d’alim SATA, 6 connecteur cd/hd et 1 connecteur DD. En outre vous avez le connecteur carte vidéo et l’alimentation carte mère en deux parties (24+4). La connectique répond donc aux normes en vigueur.

Cette alimentation est refroidie par de gros radiateurs internes et par une carcasse bien aérée, reste qu’une fois le boîtier fermé, les échanges ne se font plus que par la façade arrière, elle moins ouverte:

En tout cas, comme vous pouvez le constaté, le design est soigné, comme la qualité des connecteurs ; le prix, autour de 100€ n’est pas usurpé semble-t-il, d’autant que cela reste une des moins chère du marché en fan-less. Reste que le silence se paie assez chère, il est vrai.
Du point de vue performance, l’alim est annoncée comme ayant un rendement de 89% pleine charge, ce qui signifie que si l’on tire 300W au niveau du 220V elle devrait restituer 267W utiles pour la carte mère et donc dissiper le reste. Je n’ai pas fait ce test, toujours est-il que suivant les mesures que j’ai effectué, avec la charge de ma carte mère epia, l’alim consomme 68W sur le 220V, ce qui n’est pas meilleurs que mon autre alim Fortron elle avec ventilateur.

Du point de vue de la puissance délivrée, d’après la documentation :

  • Le 5V délivre entre 0,3 et 20A (soit 0,15 et 100W)
  • Le 12V est divisé en 2 sources indépendantes délivrant de:
    • 1 à  8A (soit 12W et 96W)
    • 1 à  14A (soit 12W à  168W)
  • Le 3.3V délivre entre 0,5 et 20A (soit 1,6W et 66W)

En combiné, les 5V et 3.3V peuvent délivrer 120W max et au global, l’alim délivrera au max 300W.

La surprise parmi mes mesure aura été la consommation à  vide, c’est à  dire lorsque l’ordinateur est en arrête mais l’alimentation branchée et même lorsque l’alimentation est branchée, sans charge. La consommation est alors de 22W. Pour ma part, la machine étant allumée 24/24 ça n’a pas d’impact, mais cette consommation peut sinon représenter dans les 20€ d’électricité.
J’ai par ailleurs pu remarqué que la consommation oscillait beaucoup fortement que sur les autres alimentations lorsque je sollicitais le système. Mon interprétation (mais c’est assez personnel) est que cette alimentation n’intègre pas les gros condensateurs de filtrage habituels, sans doute par manque de place autour des gros radiateurs. Ces condos servent de réserve d’énergie et absorbent les pic de consommation. Leur absence fait que l’alim tire ces pics sur le 220W. Ceci n’est en aucun cas un soucis à  mon avis, il s’agit juste d’une particularité remarquable.

Du point de vue de la température, après 1h de fonctionnement à  75W le boîtier est tiède (34 degrés C)… Il n’y a rien d’anormal. Il est toutefois indiqué que le coté supérieur du capot ne doit pas être couvert, il faudra donc veiller à  ce que l’alim ne touche pas le sommet du boîtier, sans quoi cette contrainte sera difficile à  respecter. Je ne serai dire quel doit être l’espace minium à  laisser, pour ma part, il ne pourra dépasser le centimètre … espérons que ça suffise.
(LOL … Je ne l’ai compris qu’une fois dans le boitier, mais la capot est en fait en bas et non en haut … du coup, une fois dans la boite, pas de problèmes….la chaleur se dissipe du coté de la carte mère)

Dernière remarque, comme cette alimentation n’a pas de ventilateur, elle ne pourra servir d’extraction de chaleur pour le boîtier (normal, et c’est le but), par conséquent, il faut bien s’assurer que la chaleur du boîtier reste acceptable au risque d’avoir une surchauffe… Mon point de vue personnel, et que pour un système 100% fanless comme celui que je monte, il faudra bien faire usage des sondes de températures et des capacités PWM permettant de piloter un ventilateur d’extraction de secourt, principalement en été…

Enfin une dernière photo pour la route.

Premier exemple d’implémentation Ajax

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Ajax est un des composants importants du Web 2.0 car il apporte souplesse et dynamismes aux sites web. Il se situe au croisement de trois langages que vous devez maîtriser avant d’aller plus loin dans ce tutorial : HTML, JavaScript, PHP (ou tout autre langage interprété par le serveur).

Le but de la petite application Ajax que nous allons implémenté est, à partir d’un formulaire, de vérifier qu’un mot de passe est juste et afficher le résultat de la vérification sans rafraîchir la totalité de la page.

Pour bien mettre en évidence les différentes parties de l’implémentation, nous aurons trois fichiers :

– implement.html : Contiendra un formulaire html très simple

– implement.js : Contiendra nos fonctions JavaScript et l’utilisation du fameux XMLHttpRequest indispensable à la technologie Ajax

– implement.php : Contiendra le petit script de vérification

 

HTML

Construisons d’abord le formulaire dans implement.html, lisez attentivement les commentaires :

 <html>
 <head>
 <!-- On inclut notre future fichier JavaScript -->
 <script type="text/javascript" src="/ajax/implement.js"></script>
 </head>
 <body>
 <!--
 On déclare le formulaire en GET et en guise de page de soumission on appelle une fonction de notre futur fichier JavaScript.
 Le champs du password doit avoir une id. On récupèrera la valeur du champs grâce à cette id dans notre future fichier JavaScript
 -->
<form method="GET" action="javascript:verifier()">
 Password : <input type="text" id="pass" /><br />
 <input type="submit" value="Vérifier" />
</form>
<!-- Voilà l'endroit où le résultat sera affiché, reconnu dans notre future fichier JavaScript par son id. Pour le moment, on affiche rien. -->
<p id="resultat"></p>
</body>
</html>

 

JavaScript

Maintenant, attaquons-nous au fameux fichier JavaScript implement.js ! Comme précédemment, les commentaires expliquent le détail du fonctionnement :

/*

Fonction qui crée un objet XHR. Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

 

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);

}

}

 

function verifier() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les parmètre en GET. Le paramètre de notre formulaire est seulement le contenu du champ possédant l’identifiant ‘pass’. */

var url = ‘implement.php?pass=’+document.getElementById(‘pass’).value;

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘resultat’ avec la réponse du serveur */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

PHP

Bon, la requête s’envoie correctement, reste à faire le coté serveur avec implement.php.

 

<?php

/*

On vérifie que le paramètre GET est bien présent. Si c’est le cas, on le compare avec le bon mot de passe et affiche le message qui va bien.

*/

if(isset($_GET[‘pass’]))

if($_GET[‘pass’]==”monpass”)

echo “Bon password !”;

else

echo “Mauvais password…”;

else

echo “Erreur GET”;

?>

Comme dit au début, on utilise ici une page PHP, mais on pourrait très bien imaginer un script shell, un servlet Java, une page ASP,… Exemple en Java de code équivalent dans un fichier implement.jsp :

<%

/*

On vérifie que le paramètre GET est bien présent.

Si c’est le cas, on le compare avec le bon password et affiche le message qui va bien.

*/

String pass = request.getParameter(“pass”);

if(pass!=null)

if(pass.equals(“monpass”))

out.println(“Bon password !”);

else

out.println(“Mauvais password…”);

else

out.println(“Erreur GET”);

%>

Les scripts ci-dessus sont simplistes, de bien plus puissantes utilisations sont envisageables, comme la recherche à la volée dans une base de donnée, des calculs mathématiques complexes, des retours d’infos sur le serveur,…

XML

Mais, comme vous êtes perspicaces et avides de connaissances, vous remarquerez que dans la dénomination Ajax, le X signifie XML. Or, point de XML dans nos remarquables explications pour le moment ! Il s’agit d’une autre utilisation de Ajax, que nous allons vous expliquer :

D’abord créez un fichier implement.xml et écrivez-y cet arbre très simple :

<?xml version=”1.0″ ?>

<root>

<pass>monpass</pass>

</root>

Ensuite reprenez le fichier JavaScript et ajoutez cette fonction :

function verifierxml() {

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

/* On indique notre fichier XML*/

var url = ‘implement.xml’;

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre, url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

/* On initialise la fonction de renvoi d’information : Après vérification que la requête est valide on met à jour le contenu HTML de la balise possédant l’identifiant ‘resultat’ après exploration du XML */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

/* On récupère le contenu de notre fichier */

var xml = requete.responseXML;

/* On récupère notre password au sein du fichier */

var pass = xml.getElementsByTagName(‘pass’).item(0).firstChild.data;

/* On compare et affiche suivant le résultat */

if(pass == document.getElementById(‘pass’).value )

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = ‘[XML] Bon pass !’;

else

document.getElementById(‘resultat’).innerHTML = ‘[XML] Mauvais pass…’;

}

}

};

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

Et voilà, il ne reste plus qu’à appeler verifierxml() dans le code HTML à la place de verifier() et le tour est joué.

Conclusion

Fondamentalement, l’Ajax repose donc sur l’objet HTMLHttpRequest permettant d’effectuer des requêtes asynchrones au serveur (c’est à dire sans recharger la page en entier). Il peut s’agir d’un fichier XML que l’on peut explorer par JavaScript une fois récupéré, ou d’un script exécuté par le serveur (PHP, ASP,…). A partir de ces deux fonctionnalités, une utilisation astucieuse de JavaScript et de HTML peut aboutir à d’impressionnants effets dignes de Flash (fondu, déplacement d’image, interactions avec la souris, affichages en temps réel,…) !

Bienvenue dans le Web 2.0 🙂

Des sites qui utilisent Ajax

Ajax se démocratise de plus en plus, et nombre de sites basés sur cette technologie voient le jour.Voici une liste bien sûr non exhaustive qui permet un petit d’horizon de ce qui se fait actuellement sur la toile en matière d’Ajax.

http://www.kiko.com/

Kiko est un agenda interactif. Vous pouvez marquez vos rendez-vous, réunions et autres commentaires dans un calendrier modulable.

http://www.bubbleshare.com/

Bubbleshare est un site de partage de photo.

 

http://www.webezz.net/

Webezz permet de créer son site web complet en ligne à la manière des logiciels Wysiwyg (http://fr.wikipedia.org/wiki/Wysiwyg).

 

http://www.tadalist.com/

Tadalist est un site stockant vos “To Do Lists”, vos listes de choses à faire en somme. L’utilisation d’Ajax n’y est pas flagrante mais néanmoins présente.

http://www.formassembly.com/

Form Assembly est un outil intéressant pour les développeurs web : Il permet de créer des formulaires qui pourront ensuite être facilement intégré à vos sites.

 

http://www.backbase.com/

Backbase est une société qui a développé des outils pour la création de sites web dynamiques, donc bien entendue elle utilise l’Ajax !

http://simile.mit.edu/timeline/

Le Timeline permet de visualiser des évènements sur une échelle de temps.

http://www.findmycover.com/

FindMyCover permet de retrouver les images de pochettes de CD ou de DVD. La recherche affiche dynamiquement le résultat sur la page.

http://maps.google.fr/

Le célèbre Google Maps est un impressionnant exemple des capacités d’Ajax. Entre autre, la fluidité dans l’affichage des carte vient du fait que les images sont pré-chargées en tâche de fond lors de l’utilisation.

http://www.ajaxtrans.com/

Un petit traducteur 12 langues en Ajax.

http://www.sproutliner.com/

Sproutliner est un gestionnaire de tâche entièrement paramétrable.

http://www.extratasty.com/

Extratasty permet de réaliser des cocktails en ligne à partir d’une liste d’ingrédients, le tout géré en Ajax.

http://www.objectgraph.com/dictionary/

Voilà une belle démonstration de la complétion en Ajax. Ce dictionnaire anglophone est rapide et complet, et affiche les définitions des mots commencés à taper

Le fonctionnement d’Ajax

(article écrit par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet)

Impossible de vous expliquer comment fonctionne Ajax si vous ne connaissez pas l’organisation du World Wide Web aussi appelé Web.
Les notions de client et de serveur sont élémentaires pour comprendre l’Internet.
Derrière l’entité serveur se cache tout simplement un disque dur contenant des données. Celles-ci peuvent être sous la forme de fichiers, d’applications ou de bases de données. Bien sûr, un serveur n’est pas forcément spécialisé et peut très bien regrouper toutes ces données. Un Client est en réalité un ordinateur relié au réseau comme celui que vous êtes en train d’utiliser. Les échanges entre ces deux entités diffèrent selon la technologie utilisée.

Tout d’abord, je vais essayer d’expliquer aux plus novices d’entre vous comment marche l’affichage d’une page web utilisant uniquement le HTML.
Si vous voulez davantage connaître l’HTML, je vous conseille de visiter cette page : http://www.ext.upmc.fr/urfist/html/html.htm.
Lorsque vous surfez sur la toile et que vous cliquez sur un lien, ou tapez une adresse, votre navigateur web (Internet Explorer ou Mozilla) envoie une requête au serveur. Le serveur étant toujours prêt à répondre aux demandes du client, il retourne au navigateur web du client une page HTML stockée sur son disque dur. C’est ensuite votre navigateur qui va interpréter et afficher la page.
Voici un petit schéma explicitant les quelques lignes ci-dessus:

Mais le web n’est pas composée que de pages statiques. En effet, avec le langage PHP les pages ont la possibilité d’être animées.Par exemple, avec un petit script PHP la page peut afficher la date et l’heure à laquelle elle a été affichée. Ici, les échanges entre serveur et client sont différents. Le processus est similaire, sauf que le serveur effectuera un traitement avant de renvoyer la page.

En effet, le serveur va devoir exécuter le script. Celui retournant la date et l’heure n’est pas gourmand en ressources système, mais certains peuvent pénaliser le serveur.Voici,un second schéma:

Un troisième langage permet de faire des pages dynamiques, il s’agit du JavaScript. Le traitement est différent car c’est du coté client que le script s’exécute. Cela permet de ne pas surcharger le serveur, et facilite ainsi sa tâche. Les traitements effectués coté client sont d’un ordre généralement différent de ceux effectués coté serveur. Le javascript est principalement utilisé pour des opération de rendu de l’affichage alors que les traitements serveur sont plus focalisés sur la gestion des données.

Cet article ne devait pas être sur le fonctionnement d’Ajax ? Si, bien sûr, mais pour comprendre son fonctionnement, il faut savoir comment les langages les plus courants opèrent puisque Ajax est en réalité un ensemble de technologie(s) et de langages.
Ajax est un mélange des deux précédents schémas : Lorsque le client télécharge une page, celle-ci intègre des composant Javascript (donc exécutés coté client) qui seront ensuite capables de requêter de nouvelles informations au serveur et se chargeront de les afficher dans le navigateur.
Les javascripts établissent ainsi une communication entre le client et le serveur par la création d’un contrôle ActiveX sous Internet Explorer et d’un XMLHttpRequest sur la plupart des autres navigateurs.
Le serveur communiquera avec le client en lui transmettant des texte souvent formatés à l’aide de XML. Le navigateur se chargera de l’interprétation et de l’affichage de ces données.

Avec l’Ajax, les échanges entre serveur et client ne nécessitent plus de raffraichissement complet de l’écran mais seulement de certaines zone de celui-ci. L’utilisateur aura donc un impression d’interactivité beaucoup plus grande. Les mises à jour de la page ont lieu régulièrement, à chaque fois que l’on est dans la situation où la requête est envoyée. Ce système est aussi plus économique pour le réseau et le serveur qui ne génèrent plus que des informations partielles (au risque de pooling près).

Comparatif de consommation liée à l’alim

Petit test de ce vendredi soir (un peu comme s’il fallait amortir mon wattmetre ! lol) Un comparatif de consommation avec plusieurs alimentations différentes. Depuis que j’ai appris que les alim avait un rendement (ca je m’en doutait) qui pouvait avoir de fortes variations, je me suis demandé si d’une alimentation à  l’autre je pouvais trouver un gros écart. J’ai donc sorti mon stock d’alim du placard pour quelques tests. L’alim est branchée sur ma carte epia sn 1800 avec vidéo ati HD 2600 pro, un lecteur de CD et un disque usb.
Les résultats ne sont pas mirobolants mais je vous les propose tout de même:

  • Alimentation dell 150w ; conso à  vide 15W ; démarrage (n’a pas voulu démarrer (n’aime que les dell on dirait))
  • Alimentation bas de gamme 350W : conso à  vide 13W ; en charge 59W
  • Alimentation Fortron 300W ; conso à  vide 9W ; en charge 65W
  • Alimentation ACC 350W ; conso à  vide 9W ; en charge 66W
  • Alimentation Fortron ZEN 300W ; conso à  vide 22W ; en charge 68W

Bref, ce n’est pas parce que l’on paye une alim cher que l’on va faire des économies si l’on regarde la conso d’une bas de gamme par rapport à  une Fortron. Le gain est par contre ailleurs, stabilité de l’alim, ventilation plus silencieuse… Reste à  mesurer si l’alim Fortron ZEN 300W, sencée se distinguer par son rendement (87%) fait mieux que les autres.
Ensuite, la consommation à  vide est celle de l’alim branchée alors que rien ne tire dessus. Ajoutez 2W en gros pour la veille de la carte mère. Là  dessus les alimentations de qualité supérieure se distinguent et ce d’autant plus qu’elle possèdent un interrupteur 220V permettant pour de vrai de tout couper. Pour rappel, 15 W sur 1 an coûte dans les 13€ d’électricité.

Je vais accorder un plus ample test à  l’alim Fortron ZEN 300W, mais à  première vue suivant les résultats ci-dessus, il s’agit de la moins économique (celle qui consomme le plus à  charge équivalente) Ce point est surprenant car elle est connu pour avoir un très bon rendement permettant d’avoir moins de perte en chaleur et donc un refroidissement fan-less… et bien, étrangement c’est celle qui a le plus mauvais rendement selon mon test … reste qu’elle a tendance à  affoler mon wattmètre d’habitude stable et qui là  oscille entre 66 et 75W (Peut être le signe de condo tampon moins gros, ce qui visuellement semble se confirmer)

Configuration de Compiz Fusion sur Suse 10.3 avec Radeo HD 2600 Pro

Je n’ai jamais pu installé compiz fusion, faute à  une des rares cartes video non supportée par les drivers propriétaires Nvidia. Cette nouvelle carte est une occasion de m’y mettre, ne serait-ce que pour voir.
Compiz-fusion avec la suse 10.3, c’est une histoire de click. Cette version est en effet complète : du répository ATI aux composent Compiz, bery, xgl… tout est là  et presque installé en standard. J’ai donc commencé par installé les drivers fglrx en rencontrant un petit soucis car le module installé par suse ne portait pas la meme référence que le noyau que j’avais moi même recompilé. Qu’à  celà  ne tienne, une modprobe -f fglrx.ko règle le problème. Cette situation ne sera cependant que temporaire car du coup le module refuse de se charger automatiquement.
J’ai donc installé les drivers fournis sur le site d’ATI (je pense que ce sont les même en fait, en ce moment) et recompilé le module (il est possible que cette manip puisse se faire avec le packet de Suse, mais je n’ai pas testé avant). Attention, pour recompiler le module il faudra faire pas mal de ménage et à  la main.

La présence du module est importante : lorsque le serveur X fglrx est installé sans que le DRI soit chargé, les fenetres deviennent extrèmement lente, non sans me rappeler la fluidité d’un 486 sous windows 95 (ceux qui étaient nés me comprendront)… Instant de nostalgie passé, cette situation n’est pas tenable ! Bon bref, dans une telle situation, vérifiez la présence du module fglrx (lsmod | grep fglrx). S’il n’est pas présent c’est normal.

Vous pouvez aussi diagnostiquer le bon fonctionnement des parties 3D par les commandes suivantes:

root@epia> fglrxinfo
display: :0.0 screen: 0
OpenGL vendor string: ATI Technologies Inc.
OpenGL renderer string: ATI Radeon HD 2600 Pro
OpenGL version string: 2.1.7170 Release

Glxgear doit donner un nombre de frame conséquent (notez que autour de 300 FPS c’est deja pas mal et que quand tout va mal, il y en a plutôt 40
root@epia> glxgears
24874 frames in 5.0 seconds = 4974.736 FPS

fgl_glxgears doit aussi donner un bon nombre de frames par seconde
root@epia>fgl_glxgears
Pour ma part les résultats sont de l’ordre de 100 FPS.

Pour l’étape suivante, à  savoir faire fonctionner Compiz-fusion, il faut que le glx soit activé et fonctionne bien ; il sera possible de vérifier quelques points préalable avec les commandes suivantes:
root@epia> glxinfo | grep “direct rendering” qui doit retourner une ligne avec “direct rendering: Yes”

Tout cela vérifié, vous devriez être à  même d’activer le mode sgl et de lancer Compiz-Fusion … Si cela fonctionne chez vous c’est que vous êtes plus chanceux que moi …. L’activation se fait de la façon suivante : lancez en tant que root la commande suivante : gnome-xgl-switch –enable-xgl puis rebootez le PC. Une fois redémarré Compiz devrait pouvoir se lancer.

Pour ma part, une fois xgl activé j’ai de très nombreux soucis de raffraicissement, en fait je dirait même que plus rien ne se raffraichi, bref, c’est totalement inutilisable. Je n’ai trouvé aucune information sur ce problème pour l’instant sur Internet, donc si vous avez des pistes, laissez moi quelques commentaires, je suis preneur.

Quelques liens qui m’ont bien aidés: