Arborescence de fichier progressive

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Sur la toile, plusieurs scripts vous proposent d’afficher une arborescence de votre système de fichier tout d’un bloc. Sympathique, mais si vous possédez beaucoup de dossier le chargement risque d’être (très) long… Avec l’Ajax, nous allons charger les branches de l’arbre au fur et à mesure des clics de l’utilisateur !

D’abord, avant de nous lancer à corps perdu dans le code pure et dure, réfléchissons à l’organisation de notre fichier HTML. Voici une proposition :

<p>Dossier racine

<p onclick=”javascript:ouvrir()”>Premier dossier</p>

<p onclick=”javascript:ouvrir()”>Second dossier</p>

<p>Fichier 1</p>

<p>Fichier 2</p>

<p>Fichier 3</p>

</p>

 

Bon, cela n’a pas l’air mal. Imaginons qu’on clique sur le second dossier, on aurait alors un code du genre :

 

<p>Dossier racine

<p onclick=”javascript:ouvrir()”>Premier dossier</p>

<p onclick=”javascript:ouvrir()”>Second dossier

<p onclick=”javascript:ouvrir()”>Premier sous-dossier</p>

<p onclick=”javascript:ouvrir()”>Deuxième sous-dossier</p>

<p>Fichier divers</p>

</p>

<p>Fichier 1</p>

<p>Fichier 2</p>

<p>Fichier 3</p>

</p>

 

 

Actuellement notre principe est faillible :

– On ne peut pas fermer les dossiers

– On inclus des balises utilisant “onclick” dans d’autres balises “onclick”, donc les fonctions risquent d’entrer en conflit

 

On va donc mettre le “onclick” à l’intérieur dans les deux cas grâce à la balise “span” de cette façon :

 

<p>Dossier racine

<p><SPAN onclick=”javascript:ouvrir()”>Premier dossier</SPAN></p>

<p><SPAN onclick=”javascript:fermer()>Second dossier</SPAN>

<p><SPAN onclick=”javascript:ouvrir()”>Premier sous-dossier</SPAN></p>

<p><SPAN onclick=”javascript:ouvrir()”>Deuxième sous-dossier</SPAN></p>

<p>Fichier divers</p>

</p>

<p>Fichier 1</p>

<p>Fichier 2</p>

<p>Fichier 3</p>

</p>

 

 

Si on clique sur le nom du dossier, le “onclick” est écrasé par la liste des sous-dossiers et sous-fichiers. Ainsi, plus aucune inclusion mutuelle conflictuelle. Vous remarquerez que de cette manière on met aussi en place la fonction de fermeture du dossier. Cela soulève un nouveau problème : Quand la fonction de fermeture est appelée par le “span”, comment fait-elle pour vider l’intérieur “p” en parent ? Il faut trouver un moyen de récupérer ce “p”, et nous allons le faire grâce aux identifiant :

 

<p>Dossier racine

<p ID=”Premier dossier”>

<span onclick=”javascript:ouvrir()”>Premier dossier</span></p>

<p ID=”Second dossier”><span onclick=”javascript:fermer()”>Second dossier</span>

<p ID=”Second dossier/Premier sous-dossier”>

<span onclick=”javascript:ouvrir()”>Premier sous-dossier</span></p>

<p ID=”Second dossier/Deuxième sous-dossier”>

<span onclick=”javascript:ouvrir()”>Deuxième sous-dossier</span></p>

<p>Fichier divers</p>

</p>

<p>Fichier 1</p>

<p>Fichier 2</p>

<p>Fichier 3</p>

</p>

 

 

Le “span” contenant la fonction de fermeture contient dans son innerHTML l’identifiant du dossier à vider ! En d’autres termes, la fonction connaît la balise à vider lors de la fermeture. Après mise en forme, voilà donc à quoi ressemble notre page arborescence.html :

 

<html>
 <head> 
 <link rel="stylesheet" type="text/css" href="arborescence.css" media="all">
 <script type="text/javascript" src="arborescence.js"></script>
 </head>
 <body>
 <h1>Arborescence</h1>
 <p id="C:"><span onclick="javascript:ouvrir('C:');">Cliquez ici pour ouvrir l'arbre</span></p>
 </body>
</html>

 

C’est tout ! La récursivité et l’Ajax feront le reste. Notez qu’ici le dossier racine sera le lecteur C:, si vous n’êtes pas sous Windows nous vous conseillons vivement de prendre un autre répertoire. Sachez tout de même qu’il ne faut pas mettre de “/” à la fin.

 

Nous avons déterminé la façon dont sera structuré notre page HTML, passons aux fonctions javascript grâce à notre fichier arborescence.js. D’abord implémentons notre fameuse fonction de création de requête Ajax :

 

/*

Fonction qui crée un objet XHR.

Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”

*/

 

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */

 

function creerRequete() {

try {

requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */

} catch (microsoft) {

/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire

à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);

} catch(autremicrosoft) {

/* Autre méthode si la première n’a pas marché */

try {

requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);

} catch(echec) {

/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/

requete = null;

}

}

}

if(requete == null) {

alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les objets XMLHttpRequest.’);

}

}

 

 

Ensuite travaillons sur la fonction d’ouverture des dossiers. Il s’agit tout simplement de récupérer le dossier dans les paramètres et de l’envoyer à la page PHP. On redirige ensuite le tout vers la balise portant l’identifiant du dossier.

 

function ouvrir(id) {

 

/* On récupère la balise doté de l’identifiant précisé */

src = document.getElementById(id);

 

/* On crée notre super objet XHR global */

creerRequete();

 

/* On construit à l’avance notre URL en passant les paramètre en GET */

var url = ‘arborescence.php?dir=’+id;

 

/* On édite les propriété de l’objet : type de paramètre,

url (avec paramètres) et une option autorisant une réponse du serveur */

requete.open(‘GET’, url, true);

 

/* On initialise la fonction de renvoi d’information */

requete.onreadystatechange = function() {

if(requete.readyState == 4) {

if(requete.status == 200) {

src.innerHTML = requete.responseText;

}

}

};

 

/* C’est partit ! On envoi la requête XHR au serveur */

requete.send(null);

}

 

 

La fonction de fermeture n’est pas beaucoup plus complexe. A partir du chemin complet du dossier, il faut récupérer le nom simple. Ensuite on doir remplacer le contenu de la balise identifiée par le chemin complet par la balise du dossier, mais fermée, comme ceci :

 

<span onclick=”javascript:ouvrir(‘le chemin complet’);”>le nom simple</span>

 

 

Voilà la fonction implémentée :

 

function fermer(id) {

 

/* On récupère la dernière partie du chemin complet du dossier, c’est à dire juste le nom du dossier */

var nom = new RegExp(‘/’);

nom = id.split(nom);

nom = nom[nom.length-1];

 

/* Le chemin complet du dossier est aussi son identifiant, à partir de celui-ci on peut récupérer la balise le représentant */

src = document.getElementById(id);

 

/* On écrase le contenu de la balise par le ‘span’ permettant l’ouverture du dossier */

src.innerHTML = ‘<span onclick=”javascript:ouvrir(\”+id+’\’);”>’+nom+'</span>’;

}

 

 

Bon, notre fichier Javascript est fait, attaquons nous au script PHP : arborescence.php. Le but de celui-ci sera de récupérer le chemin du dossier, d’analyser sont contenu et de le renvoyer formaté en HTML de façon à ce que les dossiers trouvés puissent être à leur tour ouverts.

 

<?php

if(isset($_GET[‘dir’]))

{

// Si le dernier caractère du chemin complet du dossier n’est pas un slash, en mettre un

if(substr($_GET[‘dir’],-1)!=”/”)

$_GET[‘dir’].=”/”;

 

// Voici nos deux variables de retour, elles sont vides pour le moment

$ret1 = “”;

$ret2 = “”;

 

// Ouvrir le répertoire

$dir = opendir($_GET[‘dir’]);

 

// Tant qu’il y a des choses dedans, s’il ne s’agit

//pas des dossier “.” et “..”, ajouter le fichier ou le dossier selon le formatage HTML

while ( ($v = readdir($dir))!=”” )

if( $v!=”.” && $v!=”..” )

if(is_dir($_GET[‘dir’].$v))

$ret1.='<p id=”‘.$_GET[‘dir’].$v.'”><span onclick=”javascript:ouvrir(\”.$_GET[‘dir’].$v.’\’);”>’.$v.'</span></p>

‘;

else

$ret2.='<p>’.$v.'</p>

‘;

 

// Enfin, on affiche le ‘span’ permettant la fermeture et on met à la suite les dossiers puis les fichiers

echo ‘<span onclick=”javascript:fermer(\”.substr($_GET[‘dir’],0,-1).’\’);” class=”diropen”>’.ereg_replace(“^.*/([^/]*)/”,”\\1″,$_GET[‘dir’]).'</span>

‘.$ret1.’

‘.$ret2;

}

?>

 

 

Pour agrémenter le tout voilà une petite mise en page CSS grâce au fichier arborescence.css :

 

.diropen {

color: #ff0000;

cursor: pointer;

}

 

.dirclose {

color: #0000ff;

cursor: pointer;

}

 

.cadre {

margin-left: 50px;

}

 

.fic {

color: #008800;

margin-left: 50px;

}

 

 

Voilà, notre système doit fonctionner correctement. Notons tout de même que les caractères spéciaux ne sont pas gérés ! Suivant le navigateur l’ouverture d’un dossier contenant des accents peut être cause d’erreur.

Xmms prend 30% de mon CPU

Humm … je viens d’en parler et de trouver une solution du même coup … simplement en changeant le périphérique de sortie, pour qu’il utilise OSS plutot que Alsa ..; étrange … mais bon, tant que ça fonctionne.

En même temps c’est balo, j’avais pas vu mais je suis à  700MHz ! n’empêche que quand même 30% pour 1 mp3 !

Toujours un petit soucis ! cette fois c’est l’USB qui flanche !

Bon, vais-je un jour avoir une machine 100% opérationnelle ?!? 1 mois complet pour monter un PC, c’est un record jamais atteint … bon, ok, je passe pas mal de temps à  taper tout ce texte, mais tout de même … Ca va que lorsque j’ai attaqué tout ça, c’était avec l’envie de bricoler du matos et de me risquer dans l’étrange … et bien j’en ai eu pour mon pogon … et ce n’est pas terminé !!

La nouveauté, c’est que lorsque je branche un truc sur l’usb, il est bien reconnu, c’est à  dire que en tapant dmesg je le voit bien, mais par contre il n’est jamais monté, ni même affecté à  un périphérique …. du coup, inutilisable 🙁 . Par contre, si je branche que je reboot, les éléments branchés au boot sont détectés et montés ! Heureusement, je ne suis pas seul et ce cas a été ouvert chez novell.

Alors voila, encore un problème à  régler … mais après, faut me le promettre, c’est terminé !!!

Mouaip … enfin, si je considère que xmms occupe 30% de ma cpu, je sens qu’il y a encore quelques loup cachés !

Mise à  jour … Coté usb, finalement, tout va bien, sauf que suite à  l’ajout d’un périphérique, KDE ne fait rien et que du coup, Digikam ne voit pas mon appareil photo 🙁 … mais bon, le bug précédent n’a rien à  voir …. snif ; mais en même temps il y a du positif

Bon, finalement, j’ai fini par trouver !!! KDE ne me detecte toujours rien, mais par contre mon appareil photo fonctionne … donc si vous rencontrer le même problème, regardez du coté du /proc/bus/usb qui pour ma part n’etait pas monté. Je ne sais pas si ça joue, mais j’ai, dans fstab, remplacé le “noauto” par les options suivantes :
usbfs /proc/bus/usb usbfs devgid=6,devmode=666,nodev,noexec,nosuid 0 0
Le groupe 6 etant disk auquel mes utilisateurs sont associés.

Epia SN 18000 avec ventilateur de 60mm

e vous en ai parlé bien des fois déjà  de ce sacré ventilateur pas trop bruyant, mais par principe gênant et qui du fait de ses 40 mm se fait vite entendre dès qu’il monte dans les tours. Tours nécessaires dans beaucoup de cas … J’avais décidé de le remplacer par un ventilateur dit “silencieux” et donc, j’ai reçu, cette chose :

Sauf, que manque de bol, la visserie n’est pas livrée avec et sur le site, je n’avais pas trop compris que la chose était aussi haute… bref, coincé avec un pc ouvert et un ventilo impossible à  fixer, j’ai fini par totalement improviser …Le résultat est bien plus positif que ce que j’imaginai par le changement de ventilateur. En effet le radiateur de l’epia 18000 SN fait 60mm de large, du coup, il est possible de fixer dessus un ventilateur plus gros. Bon, il faudra d’une part se contenter de 2 vis sur 4, et d’autre par, il faudra des vis un peu perforantes pour se faire une place dans l’alu du radiateur, mais au final, ça tien et suffisamment pour éviter les vibrations.

Le gain autant, en refroidissement qu’en niveau sonore est non négligeable et je conseille vivement ce petit bricolage qui ne demande pas trop de talent pour être réalisée.

Carte vidéo MSI NX7300 fanless 0db

Enfin une carte vidéo qui ne ressemble pas trop à  un grill ! suite aux déboires dont je vous ai déjà  parlé avec ma carte ATI HD2600, je me suis décidé pour une carte NVIDIA basée sur une chip 7300 GS dont voici déjà  une petite photo.

Bonne nouvelle, cette carte, comme attendu, ne cache pas un monstrueux radiateur derrière … elle va enfin dissiper sa chaleur à  l’opposé du CPU et des barrettes mémoire, une fois installée, je ne peux que constaté une baisse significative de température de fonctionnement, point très positif dans mon système à  faible bruit où les ventilateurs ont donc moins besoin de tourner. Bref, que du bonheur.

La seconde raison pour laquelle j’ai choisi de changé de carte graphique est la piètre qualité des drivers Linux de l’ATI 2600 qui, entre autre, ne me permettait pas d’avoir deux utilisateurs en même temps, ou avec lesquels mes fenêtres se trainainent d’un bout à  l’autre de l’écran, un peu à  la mode du 486 sous Win95 quand vous activiez le mode “remplir les fenêtres lors des déplacements” (et ce n’était pas un soucis de présence de module noyau !)

Avec NVIDIA, presque aucun soucis … je dit presque parce que la première version installée les 168.07 m’ont valu quelque magnifiques plantage avec reboot instantanés de la machine, sur un simple click sur une réduction de fenêtre … un crash du nvidia 7300 GS comme on en aime pas en voir. Du coup, je me suis rabattu sur la version 96.43.05 qui, elle, fonctionne très bien pour l’instant. Je n’ai pas vraiment compris pourquoi il y avait trois version en parallèle de drivers Nvidia, sans doute ont-il chacun leur petits bug … allez savoir, en tout cas, maintenant ça fonctionne et glxgear m’affiche 1000fps … concept intéressant au demeurant.

Bref, après une petite peur, je suis content su résultat avec cette carte vidée ! donc avis aux personnes de passage, je vends un magnifique grille pain msi hd 9600 pro, fanless, driver less et performance less… enfin, je vous rassure, ca doit fonctionner sous windwis, je n’en doute pas et puis au cas où, ca pourra toujours vous chauffer l’hiver !

Mise à  jour du 10 février:
Finalement, je ne sais pas trop si je vais m’en tirer à  bon compte … les drivers 96.43.05 auront tenu 24h avant de me provoquer un nouveau reboot instantané du PC le tout après avoir mis Xorg à  100% durant 1 heure… J’accuserai bien un autre élément mais à  vrai dire, avec la carte ATI je n’avais pas eu ces soucis. Je suis donc en train d’utiliser les version 100.14.19, si je ne vous en reparle pas, c’est qu’ils marchent. sinon, je sens que je vais revenir aux bon vieux drivers vesa … J’ai aussi essayé les drivers 71.86.04 mais eux, ils ne fonctionnement simplement pas avec ma carte.
Au moins ça aura été rapide … à  peine le temps d’enregitré ce commentaire et me voila reparti pour un reboot gratuit ! extra-ball ! Bon, je vais essayer les dirvers vesa de base … enfin si sax2 veut bien conctionner parce que pour l’instant ce n’est pas gagné, sinon, j’ai aussi trouvé celà  en ligne :

X.org 7.3 enables the Composite extension by default, but it fails to initialize when Xinerama is enabled. This causes a bad interaction with the NVIDIA driver resulting in a server crash. To work around this problem run

# nvidia-xconfig –no-composite

to explicitly disable the Composite extension.

Mise à  jour : Bon … en définitive, on dirait bien que c’est surtout mon alim qui me causait des désagréments avec cette carte … j’ai remis les driver 169.xx.xx et depuis un petit moment ca n’a pas rebooté … trop tot pour en être sûr, mais je poursuit tout de même l’essai … si ca pouvait marcher !!!

Création d’un diaporama

(Article rédigé par un groupe d’étudiants d’IUT dans le cadre d’un projet tutoré)

Dans cet article, je vais vous montrer comment réaliser un diaporama en Ajax. Pour cela je vais utiliser trois langages: le HTML, du javascript ainsi que du php.
Le code du diaporama est scindé en 3 fichier: galerie.html, galerie.js et galerie.php.
Le premier est la page web contenant la mise en page avec les différents évènements possibles tels que le clic sur la flèche précédente ou suivante.
Voici son code avec des explications:
—————————————
<!DOCTYPE html PUBLIC “-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN”>
<html>
<head>
<meta content=”text/html; charset=ISO-8859-1″
http-equiv=”content-type”/>
<!– On inclut notre future fichier JavaScript –>
<script type=”text/javascript” src=”/ajax/galerie.js”></script>
<title>galerie</title>
</head>

<body style=”background-color: rgb(170, 0, 0);”>
<h1 style=”text-align: center;”>GALERIE D’ IMAGES</h1>
<hr />
<!– Voilà l’endroit où le résultat sera affiché, reconnu dans notre future fichier JavaScript par son id. Pour le moment, on affiche rien. –>
<div style=”background:black; text-align: center” >
<br /><br />
<img id=”i_pred” src=”/ajax/pred.png” onClick=”javascript:galerie=pred()” style=”cursor:pointer”/>
———-
<img id=”i_suiv” src=”/ajax/suiv.png” onClick=”javascript:galerie=suiv();” style=”cursor:pointer”/>
<br />
<img id=”image” src=”/ajax/start.jpg”/>
<br /><br />
</div>
<hr />
<script type=”text/javascript” >galerie=suiv();</script>
</body>
</html>

—————————————
Ce sont les fonctions pred et suiv, appelées une fois qu’une flèche a été cliquée, qui modifieront l’image. A la fin du body, on appel la fonction suiv pour initialiser l’image.

Jettons un coup d’oeil dans le fichier javascript:
—————————————
/*
Fonction qui crée un objet XHR.
Cette fonction initialisera la valeur dans la variable globale “requete”
*/

var requete = null; /* On crée une variable qui contiendra l’objet XHR */
var galerie =-1;

function creerRequete() {
try {
requete = new XMLHttpRequest(); /* On essaye de créer un objet XmlHTTPRequest */
} catch (microsoft) {
/* Si cela ne marche pas, on a peut-être affaire à un navigateur de Microsoft. On tente alors de créer un objet ActiveX */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Msxml2.XMLHTTP’);
} catch(autremicrosoft) {
/* Autre méthode si la première n’a pas marché */
try {
requete = new ActiveXObject(‘Microsoft.XMLHTTP’);
} catch(echec) {
/* Si aucune méthode ne fonctionne, on laisse l’objet vide*/
requete = null;
}
}
}
if(requete == null) {
alert(‘Votre navigateur ne semble pas supporter les object XMLHttpRequest.’);
}
}

function pred()
{
creerRequete();
galerie –;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}

function suiv()
{
creerRequete();
galerie ++;
var url = ‘galerie.php?image=’+galerie;
requete.open(‘GET’, url, true);
requete.onreadystatechange = function() {
if(requete.readyState == 4) {
if(requete.status == 200) {
if(requete.responseText!=””)
{
document.getElementById(‘image’).src=”/ajax/img/” + requete.responseText;
}
}
}
};
requete.send(null);
return galerie;
}
—————————————
On initialise la variable galerie. Elle servira d’index.
Comme vous pouvez le voir, nos fonctions pred et suiv ont un code similaire.
Chacune effectue la création de l’objet XHR en appelant la fonction creerRequete.
Puis elles incrémentent ou décrementent la variable relative à l’identifiant de l’image.
On construit ensuite l’URL, les argument seront passés par la methode GET.
On initialise la fonction de renvoi d’information.
On teste si on est au debut du diaporama (galerie = 0) ou si on est a la fin(la requête retourne rien).
Si l’on est dans le cas optimal, on affiche la nouvelle image.
On retourne la variable galerie à la page HTML.
Pour comprendre la totalité du diaporama, il faut ensuite regarder le code qui sera executé sur le serveur : galerie.php
—————————————
<?php
/*
On vérifie que le paramètre GET est bien présent
*/
function isnotpoint($var)
{
return $var!=”.” && $var !=’..’;
}

if(isset($_GET[‘image’]))
{
$image = $_GET[‘image’];
$image = abs($image);
$tableau = scandir(‘./img/’);
$tableau = array_filter($tableau,”isnotpoint”);
$nbimage = count ($tableau);
$image = ($image%$nbimage)+2;

echo $tableau[$image];

}
else
echo “Erreur GET”;
?>

—————————————
L’algorithme de ce code est le suivant:
On vérifie que le paramètre image est présent. On prend la valeur absolue de notre paramètre, ceci est utile lorsque l’index est inférieur à zéro. Si c’est le cas on utilise la fonction scandir et on stocke le résultat dans la variable tableau. La fontion scandir est très utile dans ce cas, en effet elle va retourner chacun des fichiers du dossier mais aussi un “.” et “..”, c’est pour cela que l’on utilise la fonction array_filter qui va les enlever du tableau.La fonction count permet de retourner le nombre d’éléments du tableau. On effectue un modulo de l’index avec ce nombre, et on ajoute 2.En effet, la fonction array_filter ne créer pas un nouveau tableau, mais efface juste les éléments correspondant à la recherche, C’est pour cela qu’il faut penser que les deux premiers éléments du tableau sont vides et ajouter 2. On retourne par la suite l’élément voulu.

Voilà, ce tutorial est terminé, vous pouvez à présent céeer un diaporamma utilisant Ajax pour votre site web.

Régulation de la température, pilotage des ventilateurs

Comme dit précédemment, je suis enfin maitre de mes ventilateurs et des capteurs de température … je vais pouvoir mettre au point un programme de régulation permettant de limiter les nuisance sonore de la bête … Pour rappel, même si je revit d’une solution 100% fan-less, on dirait bien que la carte via epia sn 18000 ne soit pas la bonne référence, Il aurait mieux valu la version SN 10000 mais bon, voila, ce n’est pas celle que j’ai et puis, 1G … coté perf, c’est un peu juste pour mon usage. La solution soft reste donc la meilleure dans mon cas.

En première approche, j’ai tenté une régulation dans la zone des 40-45°C, solution qui ne s’avère pas un très bon choix… nous le verrons bientôt. Par conséquent, j’ai tenté de tracer quelque courbes de chauffe pour évaluer suivant quel modèle cette carte s’échauffait. Dans un premier temps, j’ai pris des mesure, à  pleine charge mais en basse fréquence (700MHz avec calculs dnetc en tà¢che de fond) et à  différentes vitesses de ventilation (cpu seul). La courbe ci-dessous représente cet échauffement.

Outre la courbe de ventilation pour une valeur de 100/255, on peut remarquer un courbe logarithmique, se stabilisant vers les 53°C, de fait, réguler dans la zone des 40°C où les pentes sont les plus fortes entraîne un effet de yoyo (arret-relance des ventilateurs) sans grand intérêt. Par ailleurs, le gain entre de refroidissement entre 250 et 200 est faible pour un bruit bien supérieur.

Je dirai qu’en basse fréquence, on peut ventiler à  une vitesse de 100 / 255 (environ 1900rpm) jusqu’à  42°C, au delà  il faut augmenter à  150 (3700RPM) puis passer à  200 (5300RPM) à  partir de 53°C.

Voyons les mêmes courbes mais à  pleine puissance (1.7 GHz) et toujours en pleine charge:

Premier constat, dans mon système à  pleine charge et en ventilation maximum, la température atteint rapidement les 61°C qui est la limite que je me suis fixé pour mes tests ne sachant pas trop quel est le maximum. Je peux d’or et déjà  en conclure qu’une extraction d’air de mon boîtier est inévitable. Cette situation me semble assez cohérente d’une part par la présence de mon “grille pain” ou carte vidéo trop proche du processeur (ce qui va changer avec la future carte) et d’autre part par l’alim fanless qui émet sa chaleur elle aussi du coté du processeur.

Ayant un ventilo de boîtier très silencieux lorsqu’il est configuré à  une vitesse de 50/255 ou 100/255, je vais voir quel effet positif cela peut avoir sur mon refroidissement à  pleine charge …

Le résultat est très intéressant car l’extraction effectuée par le ventilateur du boîtier permet de stabiliser la température autour de 57°C assez rapidement alors que l’on voit bien que lorsqu’il ne tourne par ou insuffisamment on rentre en surchauffe. Je dirait bien, par conséquent que le choix d’une alimentation fanless n’est pas vraiment judicieux s’il faut malgré tout ventiler … mais bon, restons positif ! il ne reste plus qu’à  trouver jusqu’où descendre la vitesse du ventilo du CPU pour limiter au maximum le bruit ! Voici le résultat, cette fois, c’est le ventilateur de boîtier qui est fixe à  100 et le ventilateur de la carte mère qui varie.

La valeur 100 (1900rpm) qui a l’avantage d’être vraiment silencieuse ne passe malheureusement pas ici. par contre 150 résiste bien ce qui est assez positif. Pour ce qui est de l’échauffement, ces informations sont assez complète, il me reste à  les synthétiser puis à  regarder les courbes, non pas de chauffe mais de raffraichissement de sorte à  trouver au mieux comment refroidir la bête sans pour autant tout mettre au max quand on arrive à  62°C …

Voyons maintenant comment se comporte la carte lorsque le charge CPU est presque nulle et que le CPU est en fréquence max:

On constate que le ventilateur de boîtier et une aide importante et qu’une vitesse de 100 est suffisante pour rafraîchir ; on constate surtout que couper le ventilateur de processeur, même sans charge CPU n’est pas envisageable, une vitesse de 100, acceptable au niveau bruit est elle possible ; le couple 100 / 100, non testé ici, devrait être une bonne solution assez silencieuse.

Enfin pour terminer, voyons quel couple permet de raffraîchir un système en charge :
Pour ce dernier cas, il semble qu’une vitesse de fan cpu à  200 soit vraiment recommandée, 250 n’apportant rien ; par contre la ventilation boîtier n’apporte pas beaucoup au dessus de 100.

Me voila donc prêt pour la seconde partie : écrire le script de régulation !

Assemblage final, conclusions et prochaine étape

Bon, après 1 mois de labeur pour la mise au point de cette machine, j’ai enfin monté l’ensemble dans le boîtier, l’occasion de bonnes surprises mais aussi de nouvelles déconvenues. Les photos sont à  venir…

Donc coté silence, il faudra repasser, bien que j’ai mis au point le programme de régulation et que mon PC tourne en partie en basse fréquence, le CPU chauffe tout de même et il est vraiment pas évident de couper la ventilation sans passer au dessus des 45°C au CPU. J’ajoute que le ventilateur de 40mm de via est un mauvais choix de leur part. Il est pour commencer bruyant, j’espérais qu’une fois enfermé dans sa boîte on ne l’entendrait plus, mais on contraire, il semble qu’il y trouve une bonne caisse de résonance. Ainsi, au delà  de 50% de son régime max, il siffle ce qui est plutôt désagréable. Le pilotage du ventilateur de boîtier est lui un bonheur.

Coté alimentation une bonne surprise, je ne comprenais pas comment ne pas couvrir le dessus alors que les boîtier n’ont généralement pas de place au dessus de alim… et bien en fait, le dessus est le dessous … lol … du coup, pas de problème, la chaleur se dissipe vers l’intérieur du boîtier. J’ai par contre rencontré un soucis plus gênant avec l’alim Fortron Zen 300 : lorsque je branche le cable IDE de mon lecteur/graveur impossible alors de démarrer la carte mère… Etrange, car ce lecteur n’avait pas posé de problèmes jusqu’alors.. Par ailleurs, avec un autre lecteur j’ai aussi eu ce type de soucis, mais c’etait durant mes premiers tests est moins fréquent.

Coté carte vidéo… le bug qui tue ! après tout le mal que j’ai pu pensé de ce grille pain, voila en plus qu’on y ajoute les bug des drivers ATI : impossible de faire un CTRL+ALT+Fx pour changer de console, et plus ennuyeux, impossible alors d’avoir deux sessions ouvertes en simultané !! S’en est trop pour cette fois et je vais donc changer de carte graphique.

En résumé, suite à  cette installation, me revoilà  passant à  la caisse pour :

  • Un lecteur / graveur cd en serial ATA
  • Un ventillo 40mm silencieux
  • Une carte Video fanless, MSI GeForce 3700GS, avec dual-head, mais pas dual-dvi (on ne peut pas tout avoir)

La carte vidéo a été retenu pour les critères suivant:

  • Basé sur Nvidia et pas Ati !
  • Confirmée comme fonctionnant sous Linux
  • Fanless
  • avec radiateur situé coté opposé au processeur pour limiter la surchauffe
  • avec radiateur de taille raisonnable