Essai Netbook Dell Mini 12

Le netbook Dell Mini 12 est un ordinateur léger, surtout en poids, il s’agit d’une machine a base de processeur Atom Z520 qui est 1 processeur bi core cadencé à 1.3GHz. La configuration inclue 1 Go de Ram et un disque dur de 80Gb. L’intérêt de cette machine par rapport à un eeepc est qu’elle intègre un écran 12″ de résolution 1280×800 de bonne facture. Son usage peut donc couvrir selon d’un ordinateur portable classique dans les usage de bureautique/Internet classique avec un poids de seulement 1Kg (et quelques) et une autonomie de 2 à 3 heures.

Bien que la machine soit vendue avec une distribution Ubuntu, je vais commencer par la remplacer par une version OpenSuse 11.1 (vous me connaissez… je suis fan) – en fait, certain add-on dont j’ai besoin pour mon travail son mieux adaptés à Suse. J’en profiterai pour faire un petit test de cette nouvelle version.
L’installation de l’Opensuse s’est bien passé si ce n’est que la machine n’ayant aucune autre entrée que des ports USB (et reseau) il faudra pour une installation utiliser un DVD externe ou une clef usb bootable avec l’iso de la distribution. Même si à première vue tout semble fonctionner une fois l’installation terminée, c’est en réalité là que les problèmes commencent:
* La carte wifi pour commencer, il s’agit d’un chip Brandcom 4312 non supporté en standard. Après quelques essai infructueux, la solution est finalement d’ajouter le Repository PackMan et de chercher le driver broadcom qui est packagé. Une fois le reboot passé et le choix du noyau debug au demarrage, le wifi peut être configuré.
* La carte vidéo pose elle aussi problème : le chip intel GMA500 n’est pas reconnu et la résolution sera bloquée en 1024×768 situation très dommage, rapport a l’intérêt que l’écran représente sur cette machine. J’ai essayé de nombreuses pistes qui se sont toutes avérées des échecs. Il doit cependant y avoir une solution puisque le Linux Ubuntu installé par défaut fonctionne ; j’ai cependant lu que certain drivers pouvaient marcher mais avec des versions de noyau plus anciennes. En bref .. on oublie.

Pour ce qui est de l’opensuse 11.1, je lui trouve un gros inconvéniant : pourquoi avoir remplacé Yast2 qui permetait assez simplement d’accéder à tous les outils de configuration pour le remplacer par une liste d’applications indépendentes beaucoup moins pratique !! Pour le reste, ca fonctionne bien.

Des sites qui utilisent Ajax

Ajax se démocratise de plus en plus, et nombre de sites basés sur cette technologie voient le jour.Voici une liste bien sûr non exhaustive qui permet un petit d’horizon de ce qui se fait actuellement sur la toile en matière d’Ajax.

http://www.kiko.com/

Kiko est un agenda interactif. Vous pouvez marquez vos rendez-vous, réunions et autres commentaires dans un calendrier modulable.

http://www.bubbleshare.com/

Bubbleshare est un site de partage de photo.

 

http://www.webezz.net/

Webezz permet de créer son site web complet en ligne à la manière des logiciels Wysiwyg (http://fr.wikipedia.org/wiki/Wysiwyg).

 

http://www.tadalist.com/

Tadalist est un site stockant vos “To Do Lists”, vos listes de choses à faire en somme. L’utilisation d’Ajax n’y est pas flagrante mais néanmoins présente.

http://www.formassembly.com/

Form Assembly est un outil intéressant pour les développeurs web : Il permet de créer des formulaires qui pourront ensuite être facilement intégré à vos sites.

 

http://www.backbase.com/

Backbase est une société qui a développé des outils pour la création de sites web dynamiques, donc bien entendue elle utilise l’Ajax !

http://simile.mit.edu/timeline/

Le Timeline permet de visualiser des évènements sur une échelle de temps.

http://www.findmycover.com/

FindMyCover permet de retrouver les images de pochettes de CD ou de DVD. La recherche affiche dynamiquement le résultat sur la page.

http://maps.google.fr/

Le célèbre Google Maps est un impressionnant exemple des capacités d’Ajax. Entre autre, la fluidité dans l’affichage des carte vient du fait que les images sont pré-chargées en tâche de fond lors de l’utilisation.

http://www.ajaxtrans.com/

Un petit traducteur 12 langues en Ajax.

http://www.sproutliner.com/

Sproutliner est un gestionnaire de tâche entièrement paramétrable.

http://www.extratasty.com/

Extratasty permet de réaliser des cocktails en ligne à partir d’une liste d’ingrédients, le tout géré en Ajax.

http://www.objectgraph.com/dictionary/

Voilà une belle démonstration de la complétion en Ajax. Ce dictionnaire anglophone est rapide et complet, et affiche les définitions des mots commencés à taper

Test OpenSuse 10.3

L’open suse 10.3 est distribué sous la forme de CD (deux en fait) et non d’un DVD comme par le passé. Pour ma part, n’étant pas très branché DVD j’en suis très content. Par contre, pas d’installation réseau pour cette nouvelle version, du moins pas directement distribuée sur le site
Seul le premier CD est vraiment nécessaire à l’installation et il est ainsi possible d’avoir une Linux suffisamment complet à partir de cela. Toutefois le support du français sera partiel, ce qui est plutôt dommage. Dès le début de l’installation on vous proposera donc de vous connecter aux repositories réseau pour récupérer l’ensemble des packages. En effet, il ne faudra par exemple pas compter sur les CD fournis pour obtenir les sources des packages. Autre nouveauté, on trouvera directement les repositories tiers comme packman, cela simplifie la donne.

L’installation est classique avec moins d’étapes que précédemment, c’est rapide avec peu de questions posées mais toujours l’accès au mode expert. J’ai pu réalisé l’installation sur une disque externe USB sans soucis, mon matériel plutot atypique (via epia) a été correctement détecté et tout fonctionne.

Je regrette un point qui me fait peur, ayant souhaité compiler les différents modules de type MTD du noyau, je me suis rendu compte que ceux intégrant du code sujet à brevets logiciels (non applicable en Europe) avaient été purement et simplement retirés des sources. Je comprends qu’ils ne soient pas cochés par défaut pour respecter les lois de chaque pays, mais doit-on pour autant les enlever alors qu’ils font parti du noyau d’origine et qu’en France j’ai légalement le droit de m’en servir ? Pour rappel, les nouvelles lois françaises (DADVSI) rendent l’utilisation des services de P2P illégaux, ceux-ci doivent il pour autant être retiré des distributions ?

Un Pc ENFIN! silencieux

Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Tout d’abord les solutions via ne sont pas données-données, du moins si elles ne coûtent pas vraiment plus cher qu’un PC classique, elles coûtent au moins aussi cher, ensuite, et surtout, elles sont largement moins performante (économies d’énergie obligent). Enfin, avec le mac min, depuis longtemps mon c?ur balance.

J’ai donc enfin franchi le pas pour deux bonnes raisons : un mac mini + Dualhead2Go coûtent pas loin de 900 euro, et la seconde petite bête, seule solution permettant d’avoir deux écrans sur le Mac ne supporte pas le DVI. Ensuite, Via ayant sorti une solution EPIA à 1.8G, je peux compter sue une machine du niveau de performance de mon PC actuel. Cet article aura pour objectif de vous conter cette expérience, qui s’avère semée d’embûches…

A la recherche d’un boîtier
Première étape et non des moindre puisque soldée par un échec : il semble qu’aux yeux de tous, le mini-itx est un terminal X plus qu’un PC silencieux, bref, la boite est soit trop petite pour contenir autre chose qu’une carte mère, soit trop grosse au point d’intégrer alimentation et ventilateurs qui vont avec. Je suis un peu mauvaise langue, mais disons que le choix n’est pas simple sur Internet où l’on ne se rend pas bien compte de la géométrie du matériel. Le cahier des charges était : un boîtier supportant un slot PCI (second écran oblige), un emplacement 5 1/4 (graveur cd) et alimentation externe ou non ventilée. Tous ont l’air de ne supporter que des lecteurs CR/DVD slim coûtant 3 fois plus cher… bref, après mainte recherche, cet éléments devra attendre un peu … mais bon, les cartes mini-itx rentrent bien dans un boîtier classique, ce qui me laisse le temps de trouver une solution adéquate ; n’empêche qu’aux constructeurs, je dis ceci, le marché de l’ITX est aussi celui du silence, pas forcement de la taille.
Il faut trouver la carte mère
Seconde étape, trouver la carte mère, comme je l’ai dit, précédemment, les cartes EPIA etaient plutôt peu puissantes, Maintenant il existe plusieurs version à 1.5G ou 1G en refroidissement passif et enfin la fameuse carte 1.8G aussi appelée SN18000G. Cette carte répond parfaitement à mon cahier des charges, elle est la seule d’ailleurs, soit : au minimum 1G en passif et 1.5 en actif, supportant 2G de mémoire, intégrant un lecteur Compact Flash, une carte réseau Gigabit et un port DVI. Jusque là, que du bonheur, sauf que sorti des tests sur Internet et du site de VIA, pas moyen de la trouver en France. L’importateur en fait la réclame, mais personne ne la vend bien que son prix soit raisonnable (220 euros). Il faut donc se tourner vers l’Allemagne et les pays de l’est pour s’approvisionner. Pour ma part, j’ai passé commande chez HANOBOX, le site est en anglo-allemand avec paiement par paypal, inhabituel, mais bon… Bref, ça y est j’ai mis le pied dans la porte, le bricolage commence.
La solution de stockage
Qui dit PC silencieux dit disques silencieux, voir, pas de disque du tout… Disons que je vais expérimenter la compact flash en guide de disque dur, cette solution a deux avantages, pas de bruit mais surtout une très faible consommation et donc pas d’échauffement. Elle a toutefois un inconvénient majeur : elle rame. Bon a quel point, je n’en sais rien, je vous dirai. De ce que j’ai pu voir en ligne, les cartes sont maintenant vendu avec une notion de débit indiquée en x?? comme pour les CD, les plus rapides on l’air d’être à 300x soit 45MB/s en lecture écriture (4G pour 100?) ce qui par rapport à mon HD actuel est assez honnête d’autant que les temps d’accès devraient être meilleur du fait e l’absence de contraintes mécaniques. Mais tout ça je vous en reparle dès que j’aurai des éléments chiffrés. Reste que 4G peuvent paraître peu, mais comme pour ma part, mes données sont stockées sur un serveur réseau, il s’agit juste de faire tenir un OS qui actuellement passe sur 5G donc à voir mais rien d’impossible. Au pire, il reste la solution du disque 2” 1/2 qui a le bon goût d’offrir un niveau de bruit correct.

La suite bientôt…

RIP LMI !

Après 26 ans de publication hebdo, LMI disparait, cette disparition fait suite au rachat de la filiale française d’IDG par une régie pub. C’est de mon point de vue une perte importante, LMI était un journal d’information sérieux sur l’informatique professionnelle, c’était pour moi une source fiable d’informations sur l’évolution du marché, les tendances du moment et un bon décodeur des orientations que peuvent retenir les DSI de mon entreprise. Ce journal était complet, instructif et bien conçu. Pour ma part je ne lui connais plus d’égal et en ce sens, c’est un manque.
Le journal tirait à 30000 exemplaires, tout comme Réseaux et Télécom arrêté lui aussi, en suivant une courbe faiblement décroissante, ce qui me semble raisonnable, cette disparition a donc plus lié à une performance économique insuffisante plutôt qu’a la disparition réelle d’un marché.
Il est vrai que face à Internet, la presse informatique souffre d’une concurrence très farouche, il n’empêche que lire sur un écran de PC n’est pas des plus agréable et que le support papier reste l’occasion d’une pause cathodique, la gratuité de l’Internet ne prendra sans doute jamais l’ensemble des part de marché du papier pour cette raison et il est dommage, à mes yeux, que ce soit le fournisseur qui fasse la marcher à la place du consommateur.
Je trouve aussi intéressant que ce soit une régie publicitaire qui ait acheté ces éditions : nous passons d’une époque où le consommateur aller au fournisseur pour trouver de l’information à une époque où le fournisseur va au consommateur pour lui donner de la publicité. C’est forcement la qualité du rédactionnel qui en pâtit. Comme dirait google, l’important c’est le nombre de visites, pas le contenu. D’ailleurs plus le contenu est pauvre et plus les liens connexes vont être sollicités.
Personnellement, j’espère que d’autres profiteront de cette niche abandonnée par les chasseurs de bénéfices pour rendre au lecteur que je suis le service qu’il recherche car après tout, tant qu’il y a des bénéfices à faire, même, s’il ne sont pas de 30 ou 40%, c’est toujours bon à prendre non ? Un placement stable à 4% par an sur 30 ans est-il moins intéressant qu’un investissement à haut risque pouvant rapporter puis perdre 30% par an ? Question de point du vue…

OpenSuse 10.2 – bilan

Finalement, je ne suis pas déçu (du moins pour l’instant), l’installation sous Linux OpenSuse 10.2 s’est merveilleusement passée – tous les périphériques ont été détectés et configurés correctement. Seul petite peur au démarrage : des barrette de DDR2 non reconnues par la CM (marque LDLC), mais qui marchent très bien sur ma P5B-VM empêchaient la carte de démarrer… mais du style encéphalogramme plat … petite frayeur !

Passé ce point, mise à jour du BIOS … de base était livré un 0401, je cherche donc a mettre le 0608 à partir d’une clef USB (qu’il faut brancher avant de demarrer le PC)… Ca ne marche pas … La carte mère croyant que 0401 est plus récent que 0608 … bravo Asus … solution : passer par l’utilitaire de flashage DOS. Les versions suivantes n’ont pas ce problème.

La configuration du Raid Jmicron s’est plutot bien passée sur mes deux disques SATA et le nouveau disque ainsi créé a tout de suite été identifié sous Linux, j’ai pu créer mes partitions dessus. les performances semblent bien meilleures que ce que j’obtenais par raid-soft.
Le reste de l’installation de linux s’est déroulé sans accros : adaptateur réseau détecté, pas de soucis pour l’instant avec 4Gb…

En bref, après tous mes déboirs lié au chipset 965G, je suis plutot satisfait de la P5N-E et sont N650i.

Peformance de Xen comparé à OpenVZ

J’ai trouvé un document interressant sur Internet à ce sujet d’où cet article.

Il s’agit d’une etude comparant la performance d’un systeme de base avec un systeme Xen 3 et un systeme OpenVZ. Vous le trouverez ici. C’est signé HP et bien documenté.
Pour résumer, Xen impacte fortement les preformances du systeme : il divise au moins par deux les perf, principalement à cause de très nombreux echecs de cache de L2 lors des changement de contextes entre VM. OpenVZ semble ne pas souffrir de ce probleme. Bref, même si personnellement je suis très satisfait des résultats il semble qu’une machine Xen se charge beaucoup plus vite qu’une machine normale … il faudra donc se garder de la puissance sous le pied par rapport à une architecture classique.

Le second document est un power point: http://www.hpl.hp.com/techreports/2007/HPL-2007-59.pdf

Le bug du ventilo !

Voila l’histoire : un PC tout neuf équipé d’une carte mère Asus P5B-VM à vocation de serveur et donc équipé de 3 ventillos 3 contacts… Jusque là tout va bien, sauf que la bete est capricieuse et qu’elle ne boot qu’une fois sur dix. Toutefois, une fois demarrée, tout va bien durant des semaines, mais à chaque reboot… la galère.
J’ai donc décider de tout débrancher, piece par piece pour trouver le coupable… jusqu’à debracher les les ventilateurs. Et là ! bingo ! le boot marche a chaque fois.

Le remede … brancher les ventilos sur un connecteur 12V classique et le tour est joué.

Celle là … je vais m’en rappeler un bon moment !!