Réception de la carte VIA EPIA SN18000

Ca y est, elle est arrivée !!! à  peine déballé et deja sous tension, rien à  redire c’est tout petit …. Première étape configurer le bios et tout d’abord regarder si le modèle 1.8G est capable de descendre à  1GHz pour arrêter le ventilateur de la carte mère…. après tout il n’y a pas plus de différence que cela entre les deux modèles.
Quelle déception !!! Les partie du bios que j’avais pu voir dans la doc sont en fait grisées et donc pas moyen de changer la fréquence ! Qu’à  cela ne tienne, une nouvelle version du bios est disponible …

L’aventure commence donc, je dis bien l’aventure, je suis plutôt habitué du flashage de bios, mais là , la bête est récalcitrante … Aucun outil pour flasher fourni avec la carte mère et aucun lien sur le site de support. On trouve le nouveau bios, mais pas l’outil de flashage.. C’est en plus un bios au rabais : pas d’EZ-Flash bien que ce soit un bios AMI. Qu’à  cela ne tienne, un petit tour chez AMI, téléchargement de l’outil qui va bien voir ici. L’outil ainsi que le bios sont copiés sur une clef USB (pas de connecteur pour lecteur de disquette sur cette carte mère), boot sous dos avec un view cd de Windows 98 SE2 (sisi) …. et zou ça flash… là  comme ça on dit “facile !” n’empêche que j’y suis depuis 1h ! A dernier détail, par défaut le jumper de protection contre l’écriture du bios est positionné du coup,il faut l’enlever avant flashage.
Déception, cette nouvelle version ne permet pas plus de baisser la fréquence du processeur … comment peut-on faire une carte de ce type, configurable soit en 1.8, soit en 1G mais pas l’un ou l’autre ?!? Bon, je verrai ce point plus tard … De toute façon voici un nouveau problème : “CMOS checksum error” depuis que j’ai flashé en version 2.01 … décidément que du bonheur… d’autant que je ne peux plus jouer sur la configuration des priorités de boot et je ne peux donc plus reflasher… comme il est toujours possible de démarrer avec la config par défaut, je vais donc installer un OS, après ça sera plus simple.

Ceci étant fait … après vérification de la pile CMOS (saviez vous qu’au testeur les CR2032 ont leur charge qui tombent même quand elles sont neuve … heureusement avec une neuve de coté je ne me suis pas avoir) apres un clear du CMOS, un reflashage du CMOS…. et toujours la même erreur, j’ai décidé de revenir en version 100 du bios…. résultat apres un passage dans le bios et une sauvegarde : plus de soucis avec le CMOS … intéressant … Pour apporter la preuve par l’absurde je vais donc reflasher en version 2.01 ; cette fois je vais essayer la ligne de commande suivante : afudos I1A00201.ROM /L2 /REBOOT … un petit tour dans le bios pour sauver la nouvelle configuration et cette fois TOUT VA BIEN !!! Sauvé je ne me voyais pas trop retourner la carte en Allemagne surtout apres l’avoir attendu aussi longtemps.
Il est à  noté qu’en version 100 du bios, il y a de gros problèmes avec les priorités de boot et le boot depuis un CD puisque je me suis retrouvé à  de nombreuse reprise à  booter sur mon HD alors qu’un CD bootable était présent et que ce média était celui par défaut. En version 2.01 je n’ai pas eu autant de soucis.

Me voila donc équipé d’une carte mère et d’un Linux installé … en environ 3:30, c’est correct, comme quoi, le via epia, n’est pas trop compliqué, j’ai vu largement pire avec des cartes pour core 2 duo …. Reste quelques tests de performance à  faire et toujours cette idée de couper le ventilateur …. J’ai d’ailleurs un peu joué avec les paramètres de configuration des PWM des ventillos, il est possible en mettant un Min Duty Cycle à  60 de couper le ventillo tant qu’une limite de température n’est pas atteinte, Le résultat n’est pas mal du tout, mais il est dommage de ne pas avoir de page de suivit des températures dans le bios pour constater le résultat, il semble en tout cas qu’un mauvais parametrage puisse faire planter le système. J’ai finalement opté pour un minimum à  100 correspondant à  1700 t/s environ avec une augmentation à  partir de 49°C et une vitesse maximum atteinte à  75°C. Le bruit est au final correct, reste donc toujours à  baisser la fréquence du CPU pour que le processeur reste froid.

Suivant un article disponible ici tout est fourni pour permettre le support de cpu-freq… Voir la suite sur un article à  suivre

enfin une petite galerie de photos de la carte :

Sous tous les angles:

En vue de dessous pour le lecteur de compact flash et le mini-pci:

Carte Graphique ou grille pain ?

l est bien dommage de constater que lorsque l’on essai de supprimer les ventilateurs de l’alimentation et de la carte mère, on se heurte au problème du ventilo de la carte graphique !!! Moi qui suis issu d’une époque où ce genre d’attribut n’existaient pas … moi qui suis malade en moins de 5 minutes devant un jeu en 3D et qui ne fera pas tourner plus que les 6 faces du cube d’un bureau 3D, je suis particulièrement affecté par la complexité à  trouver une carte graphique à  refroidissement passif comme ils disent.
En gros, le mieux est d’utiliser la carte intégré à  la carte mère, mais comme je l’ai déjà  exprimé, celle-ci est VGA, mais en plus elle ne supporte pas le dual-screen, hors, c’est un point important de mon cahier des charges. Voila pourquoi je suis parti en quête d’une carte PCI-Express, dual DVI et fan-less… Je n’aurai jamais imaginé que ca puisse être aussi compliqué et que cet élément me coûte aussi chère. En général, je me cantonne à  la carte à  30 euro de chez ATI ou autre, mais là , impossible. Bref, après avoir épuisé des dizaines de sites j’ai fini par retenir le modèle MSI RX2600PRO édition “noise-free” comme ils disent. Voilà  donc ce que j’ai commandé en ligne:

Une carte au format raisonnable avec ses deux sorties DVI, nickel … Pour le reste des spécification technique interne : mémoire, nombre de polygone moulinés à  la seconde et nombre de frame par seconde dans le dernier MMOPRG … vous aurez compris, je m’en tamponne complètement…
Voilà  donc ce que j’ai reçu :


Un grille pain donc !!!

Je me pose maintenant deux questions:

  • Est-ce que ce machin va passer sur ma carte mère ?
  • Est-ce que ce truc ne va pas faire chauffer tout l’ensemble outrageusement ?
  • Est-ce que je ne viens pas là  de multiplier par deux la consommation d’énergie de tout l’ensemble ?

Reste que la carte est là , je vais donc pouvoir répondre en partie à  ces questions rapidement.

A la recherche de la bonne solution

Ok, remplacer les ventilateur est le but à  atteindre, mais les chemins sont multiples et le cahier reste encore assez flou … Cet article relate le cheminement de ma réflexion sur le sujet, la conclusion est intimement liée à  mon besoin personnel assez spécifique et si vous cherchiez, lecteur, à  suivre ma démarche vous pourriez trouver d’autres solutions ou variantes plus simples et moins onéreuses.

Des machines peu bruyantes existent, je pense entre autre au portables par exemple. Cette catégorie, pour peu qu’on y mette un prix correct, est intéressantes, tant que l’on ne les sollicite pas trop. Pas de ventilation, des disques dur très discrets, du moins jusqu’à  ce qu’on lance une série de calculs un peu costauds, alors la ventilation se réveille et le voisinage avec… Bref, bien mais pas top.

J’ajoute à  cela que les portables ne sont pas conçus pour un fonctionnement de type PC de bureau et encore moins serveur, c’est à  dire qu’une utilisation 24/24 n’est pas vraiment conseillée. Le prix de la solution est autour des 1200 euros pour une machine de qualité suffisante. Reste que la connectique pour lui brancher clavier/souris/hp et écran rend la solution inesthétique et que l’utilisation de l’écran intégré n’est pas toujours la meilleure.

Une variante aux portables, intéressante à  étudier est le mac mini. Ce portable intégré dans un Desktop offre une grosse puissance (dual core intel à  2GHz) une très faible encombrement et un niveau de bruit particulièrement faible pour un prix très correct autour de 500 euros, moins de 1000 avec les options qui vont bien et un écran. Pas de soucis de connectique cette fois : pratiquement tout fonctionne en bluetooth. Solution miracle alors ? Pour ma part, pas du tout. Pourtant utilisateur de Mac portable et convaincu par la marque, le Mini souffre de manques cruciaux pour moi : l’impossibilité de brancher deux écrans, une gestion multi-utilisateurs bien moins évoluée que sous Linux (je veux avoir plusieurs sessions ouvertes en même temps) et un clavier qui a oublié depuis le début ce qu’était un programmeur… Le point le plus critique étant la gestion dual-screen inexistante et l’impossibilité d’étendre le système, ne serait-ce qu’en ajoutant une autre carte vidéo.
J’ai bien trouvé sur Internet une solution basée sur le dualHead2Go de Matrox, mais cette solution plutôt délicate à  se procurer, onéreuse qui plus est, ne semble exister qu’en VGA alors que le DVI s’est imposé depuis quelques années. Bref, solution vite oubliée.

Il y a encore la solution du calfeutrage de PC, solution qui consiste soit à  utiliser de très longs cà¢bles pour éloigner le PC de l’utilisateur ou à  mettre le PC dans une plus grosse boite, elle-même recouverte d’isolants phoniques… Ces bricolages ne ressemblent pas vraiment à  des solutions à  mon gout. Faire du bruit en offshore ne résout pas le problème de fond et calfeutrer la machine ne lui permet plus d’être correctement ventilée… autant arrêter les ventilateurs à  ce niveau.

Il reste enfin la solution d’utiliser des équipement fan-less. C’est donc cette solution que j’ai retenu. Il s’agit de composants qui vont avoir une consommation plus faible d’énergie et qui donc ne vont pas nécessiter de ventilation rester à  une température acceptable. Les premiers à  mettre se type de solutions sur le marché ont été VIA avec la série EPIA. Il existe toutefois d’autres solutions basées sur des processeurs Intel / AMD classique dans leur version mobile. Le principe repose sur l’utilisation des technologies de gravure du moment appliqués à  des processeurs moins rapides et plus simples. Ainsi les alors que les Intel affichent 4GHz, les epia n’annonçaient que 800 Mhz. Maintenant que tout le monde est en dual core, le dernier Via n’a qu’une seule unité de traitement mais monte à  1.8Ghz en refroidissement actif. 1Ghz en refroidissement passif. De fait, à  1Ghz, plus besoin de ventiler le processeur et par sa faible consommation d’énergie, plus besoin non plus de ventiler l’alimentation …

1GHz est-ce une solution viable ? Bonne question à  laquelle je ne pourrai vous répondre tout de suite et c’est la raison pour laquelle j’ai opté pour la version 1.8Ghz abaissable à  1GHz. En première approche, je répondrai que oui car mon usage est Internet, mail et programmation. Je ne demande pas plus à  ma machine : les jeux qui sont très consommateurs ne m’intéressent pas, le traitement vidéo ne fait pas parti de mes hobbies et mes talent de dessinateur m’empêchent de prétendre à  un usage intensif du traitement d’images…. bref 1GHz, c’est plutôt pas mal… mais nous en reparlerons sans doute.

Vous connaissez la solution, voyons maintenant plus en détails les composants retenus.

Choix de la carte mère

Dans un système fan-less de type VIA, le principal est la carte mère puisque ce composant comprend à  peu près tout. Pas de cahier des charges précis là  dessus, je dirais simplement, le plus complet possible !

Le site de via vous présentent l’ensemble des modèles. Mon choix se portera sur un format mini-itx pour sa compacité. La série EX offre des solutions entre 1-1.2Ghz en refroidissement passif et 1.5G avec ventilation mais elles ne supportent que 1Go de mémoire, ce qui est bien mais pas top … Il en va de même pour les série CN ou SP (elles moins performantes 800/1.3G) Ensuite on tombe dans les carte plus anciennes ou vraiment moins performantes, plus adaptées à  des applications embarquées de type routeurs, nas ….
La carte qui a donc retenu mon attention est une série SN, ces cartes offrent une fréquence de fonctionnement allant jusqu’à  1.8GHz en mode refroidissement actif et 1GHz en passif, mais elles offrent surtout un support jusqu’à  4Go de mémoire.

Outre ces points précis, les interfaces offertes par la carte sont intéressantes :

  • slot pci express permettant l’ajout d’une carte vidéo performante
  • slot compact flash permettant d’utiliser ce type de support plutot qu’un disque dur
  • Ethernet Gigabit
  • Ethernet 10/100 (oui il y a deux port Ethernet)
  • 4 port SATA
  • 1 port IDE
  • Carte video intégrée avec sortie VGA (DVI aurait été préférable)

La carte est prévue pour l’embarqué on trouvera d’autres extensions beaucoup plus exotiques allant des entrées sorties tout ou rien à  quelques bus inhabituel dans un PC. La carte intègre aussi 2 ports série, périphérique devenu bien rare en 2007.
Une extension DVI existe chez via, mais au prix de 40 euros, elle ne se justifiera pas trop par rapport à  l’achat d’une carte en PCI express, sauf si bien sûr vous visez une solution plus économe en énergie ou encore si vous utilisez à  autre chose le pci express.

La carte VIA EPIA SN18000G / VIA EPIA SN10000EG dont tous les détails sont ici coute dans les 250 euros. Il semble qu’elle soit un peu compliquée à  trouver, mais pour ma part je la fait venir d’Allemagne. Comme nous l’avons vu, cette carte comprenant a peu près tout, le tarif est correct même s’il est vrai que le reste de la gamme Epia est plutot autour des 150 euros.

Le début de l’aventure

Me voila lancé dans l’aventure !!!! Pourquoi parler d’aventure alors qu’il s’agit simplement de monter un PC ?!? Allez savoir, en tout cas, il semble bien que le remplacement de mon usine à bruit par un équipement silencieux soit une opération s’annonçant périlleuse. Si j’en juge par les soucis déjà rencontrés pour me procurer le matériel, je pense que vous faire partager toute cette histoire pourra être utile…

Mesures de performance d’un disque dur

Question du jour alors que j’envisage de remplacer ma machine par une version VIA EPIA equipé d’une compact flash en guise de disque dur… A quelle vitesse tourne mon disque actuel !

Voici donc quelques commandes utiles pour répondre à cette question:

  • hdparm -t /dev/hda donne la vitesse d’accès en lecture sur le disque, toutefois, cette commande est un maximum car les conditions choisies par hdparm sont particulières. Dans mon cas, je trouve 30MB/s
  • L’outil seek dont le source est ici permet lui de donner le plus mauvais cas, on multipliera le nombre de seek par 4 pour obtenir le nombre de KB/s. Dans mon cas, je trouve 220KB/s avec un temps d’accès de 32ms.
  • Avec hdparm -T /dev/hda il est possible de voir ce que donne une lecture dans le cache. pour ma part j’obtiens 206M/s

Les paramètres de hdparm sont un point primordial dans l’optimisation des accès disques. hdparm /dev/hdales résume:

  • multcount : indique combien de secteur sont rappatriés à chaque E/S
  • I/O support : indique si le mode d’accès est 16, 32 ou 32-async
  • unmaskint : indique si le noyau peut traiter d’autres interruption durant un accès disque
  • using_dma : indique si l’usage du DMA est activé.. primodial !

Un autre outil pour les tests d’I/O est bonnie, dans sa version plus récente Bonnie++. Cet outil permet de tester les I/O d’une machine unix en testant les accès par bloc, caractère par caractère, testant les relecture et le temps d’accès. Il semble que ce soit l’outil le plus complet. Avantage de cet outil : il n’utilise par directement le périphérique mais le répertoire courant, du coup il est possible de tester un montagne NFS par exemple.
Mes résultats sont les suivants:

  • Montage NFS (100Mb)
    • Mode char WR/RD: 9MBs / 7MBs
    • Mode block WR/RD: 9MBs / 7.5Mbs
    • Rewrite : 4MB/s
    • Seek : 130/s
    • File seq created /s : 80
    • File seq Read /s : 3791
    • File seq Deleted / s : 164
    • File rand created /s : 91
    • File rand Read /s : 5395
    • File rans Deleted / s : 132
  • Disque local:
    • Mode char WR/RD: 21MBs / 25MBs
    • Mode block WR/RD: 35MBs / 26Mbs
    • Rewrite : 13MB/s
    • Seek : 123/s
    • File seq created /s : 22144
    • File seq Deleted / s : 25867
    • File rand created /s : 22825
    • File rans Deleted / s : 22231

Un Pc ENFIN! silencieux

Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Tout d’abord les solutions via ne sont pas données-données, du moins si elles ne coûtent pas vraiment plus cher qu’un PC classique, elles coûtent au moins aussi cher, ensuite, et surtout, elles sont largement moins performante (économies d’énergie obligent). Enfin, avec le mac min, depuis longtemps mon c?ur balance.

J’ai donc enfin franchi le pas pour deux bonnes raisons : un mac mini + Dualhead2Go coûtent pas loin de 900 euro, et la seconde petite bête, seule solution permettant d’avoir deux écrans sur le Mac ne supporte pas le DVI. Ensuite, Via ayant sorti une solution EPIA à 1.8G, je peux compter sue une machine du niveau de performance de mon PC actuel. Cet article aura pour objectif de vous conter cette expérience, qui s’avère semée d’embûches…

A la recherche d’un boîtier
Première étape et non des moindre puisque soldée par un échec : il semble qu’aux yeux de tous, le mini-itx est un terminal X plus qu’un PC silencieux, bref, la boite est soit trop petite pour contenir autre chose qu’une carte mère, soit trop grosse au point d’intégrer alimentation et ventilateurs qui vont avec. Je suis un peu mauvaise langue, mais disons que le choix n’est pas simple sur Internet où l’on ne se rend pas bien compte de la géométrie du matériel. Le cahier des charges était : un boîtier supportant un slot PCI (second écran oblige), un emplacement 5 1/4 (graveur cd) et alimentation externe ou non ventilée. Tous ont l’air de ne supporter que des lecteurs CR/DVD slim coûtant 3 fois plus cher… bref, après mainte recherche, cet éléments devra attendre un peu … mais bon, les cartes mini-itx rentrent bien dans un boîtier classique, ce qui me laisse le temps de trouver une solution adéquate ; n’empêche qu’aux constructeurs, je dis ceci, le marché de l’ITX est aussi celui du silence, pas forcement de la taille.
Il faut trouver la carte mère
Seconde étape, trouver la carte mère, comme je l’ai dit, précédemment, les cartes EPIA etaient plutôt peu puissantes, Maintenant il existe plusieurs version à 1.5G ou 1G en refroidissement passif et enfin la fameuse carte 1.8G aussi appelée SN18000G. Cette carte répond parfaitement à mon cahier des charges, elle est la seule d’ailleurs, soit : au minimum 1G en passif et 1.5 en actif, supportant 2G de mémoire, intégrant un lecteur Compact Flash, une carte réseau Gigabit et un port DVI. Jusque là, que du bonheur, sauf que sorti des tests sur Internet et du site de VIA, pas moyen de la trouver en France. L’importateur en fait la réclame, mais personne ne la vend bien que son prix soit raisonnable (220 euros). Il faut donc se tourner vers l’Allemagne et les pays de l’est pour s’approvisionner. Pour ma part, j’ai passé commande chez HANOBOX, le site est en anglo-allemand avec paiement par paypal, inhabituel, mais bon… Bref, ça y est j’ai mis le pied dans la porte, le bricolage commence.
La solution de stockage
Qui dit PC silencieux dit disques silencieux, voir, pas de disque du tout… Disons que je vais expérimenter la compact flash en guide de disque dur, cette solution a deux avantages, pas de bruit mais surtout une très faible consommation et donc pas d’échauffement. Elle a toutefois un inconvénient majeur : elle rame. Bon a quel point, je n’en sais rien, je vous dirai. De ce que j’ai pu voir en ligne, les cartes sont maintenant vendu avec une notion de débit indiquée en x?? comme pour les CD, les plus rapides on l’air d’être à 300x soit 45MB/s en lecture écriture (4G pour 100?) ce qui par rapport à mon HD actuel est assez honnête d’autant que les temps d’accès devraient être meilleur du fait e l’absence de contraintes mécaniques. Mais tout ça je vous en reparle dès que j’aurai des éléments chiffrés. Reste que 4G peuvent paraître peu, mais comme pour ma part, mes données sont stockées sur un serveur réseau, il s’agit juste de faire tenir un OS qui actuellement passe sur 5G donc à voir mais rien d’impossible. Au pire, il reste la solution du disque 2” 1/2 qui a le bon goût d’offrir un niveau de bruit correct.

La suite bientôt…

Accès à CVS dans un tunnel Ssh

Voici, le probleme du jour : accéder à un serveur CVS situé sur une machine n’offrant pas directement un accès ssh depuis internet. La solution fonctionne pour n’importe quel protocole.

  • Se connecter sur le serveur accessible en ssh depuis l’Internet
  • Lancez sur celui-ci un tunnel entre lui-même et le serveur offrant le service csv : ssh -a -e none -N -L 2401:localhost:2401 user@cvsServer
  • Lancez ensuite sur la machine sur laquelle vous souhaitez utiliser le service csv un autre tunnel: ssh -a -e none -N -L 2401:localhost:2401 user@sshServer
  • Maintenant il ne reste plus qu’à se logguer sur le service cvs : cvs -d:pserver:login@localhost:/home/cvs login