Le Cloud Computing

Cloud Computing

Mot sur toutes les lèvres lors du Gartner Summit de Londre sur les Data Center, il n’en reste pas moins qu’il s’agit à ce jour plus d’un concept que d’une réalité. Il existe toutefois plusieurs réalités sous-jacentes à ce concept. Réalité qu’il faudra prendre en compte dans les années à venir et qui peuvent radicalement changer notre contexte d’infrastructure, principalement pour ce qui touche à l’industrialisation des applications et à la consolidation.
S’il y a deux termes à retenir dans la notion de cloud, c’est élasticité et facturation au service. Termes qui vont prendre des conotations differentes si l’on parle de cloud privé (infrastructure dont nous sommes propriétaire) ou de cloud publique (infrastructure que nous achetons comme un service à l’extérieur).
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Cloud Computing et applications hébergées

Le cloud computing est le fait de mettre des applications à disposition sur des serveurs et que ces applications puissent être utilisées de n’importe où dans le monde au travers d’un navigateur. Le système permet donc une installation centralisée de l’application, une diffusion immédiate sans installation sur le poste client. Il permet une trés forte scalabilité car les applications peuvent être déployées sur autant de serveurs que nécessaire. En outre, ces sytèmes sont nativement coopératifs : partage de documents entre plusieurs utilisateurs… Utilisant des technologies Ajax/Web2, ils offrent des interfaces graphique similaire à des client lourds (on parle de client riche ici). Une partie du traitement est exécuté coté serveur, une partie coté client. En général, le client exécute les fonctions graphiques (gestion de l’interaction avec l’utilisateur) alors que le backend coté serveur gère les données.
Les google apps sont sans doute les applications les plus évoluées et couvre le nécessaire minimum d’entreprise : traitement de texte, tableur, agenda, mail et partage documentaire. Certaines entreprise comme Tweeter se sont fait connaitre, après avoir eu quelques déboires, pour utiliser ces outils, presque exclusivement dans leur activité.
Le principal problème des applications de type cloud est quelles ne respectent pas une sorte de standard comme des application classiques, ce qui fait qu’il est difficile de les mélanger les une avec les autres sur une sorte de bureau classique, si bien que l’on travaille avec des onglets ou des fenêtres ce qui n’est pas vraiment pratique à l’usage. Il manque donc une couche de gestionnaire de fenêtre standard, permettant l’intégration d’applications multiples. Personne n’etant mur là dessus, la proposition de Google est pour l’instant l’emploie de Chrome, un navigateur qui separe chaque onglet du browser. Cette solution n’est en rien un bureau, mais elle permet, lorsqu’un onglet plante, dans l’usage actuel, de ne pas perdre les autres onglets et les données qu’il contient. Un peu comme les windows actuel, contrairement à Win 3.11, permettent en cas de plantage d’une application de ne tuer que celle-ci, sans rebouter l’ensemble.

Le second frein est la manque d’applications, même si de plus en plus sont disponibles, malgré tout même si ce qu’elles font déjà est bluffant, il leur reste du chemin avant de couvrir les fonctionnalités des clients lourds. Si bien que j’en viens à me demander si une solution ne serait pas l’implémentation d’un protocole X windows en JavaScript. Il permettrait d’exécuter n’importe quelle application Linus dans un browser web, recréant dans le browser le bureau dont nous avons besoin. J’imagine certe que la performance pourrait être moindre mais toujours meilleure que les solutions VNC souvent utilisées ; proche de CITRIX qui a fait ses preuves sur des connexions lentes.
Technologiquement ca n’a rien d’innovant et contrairement au Web2, on ne profitera pas d’un traitement front-end intelligent, ni même d’un backend capable de supporter un crash du front-end sans perte de données comme nous l’avons avec les google apps… Cela mérite toutefois d’être réfléchi, vu le parc applicatif sous X, bien plus complet que ce qui existe en Web2.

Installation d’un SLED 11 sur la plateforme Zotak ION ITX / Atom N230

Seconde étape après le montage, l’installation d’une distribution Linux. J’ai choisit une SLED, en possédant une licence mais l’installation d’une OpenSuse devrait revenir au même. L’installation se passe sans soucis particulier et au final l’ensemble du matériel est correctement détecté.

En effet, coté installation et détection ca se passe globalement bien. Seuls points d’accroche la carte graphique qui n’est pas détectée. Il faut installer manuellement de serveur X nvidia et lancer la configuration en manuel. A part celà , audio, réseau, usb… tout est correctement détecté / configuré.

Coté “sensors” par contre ça ne marche pas fort … aucun n’est détecté. J’ai essayer de compiler la dernière version de lm_sensors, malheureusement, la SLED est une distribution un peu trop “windowsienne” et elle ne fournit pas yacc/bison, nécessaire pour compiler lm_sensors. Ceci étant dit, je n’ai pas plus essayé car en l’absence de ventilation, il n’est pas vraiment nécessaire de se soucier de cela. L’idée à  la base était de mettre une sécurité pour les jours d’été ventilant le boitier au besoin. Mais à  l’approche de l’hiver … pas d’urgence.

Autre point positif dans tout ça, la mise en vieille, que ce soit en “suspend to ram” ou que ce soit en “suspend to disk” fonctionne à  merveille. Pratique pour gagner du temps, même si d’un point de vue consommation, la bête demandant 20W éteint, le gain n’est pas vraiment évident avec une économie de seulement 10W entre allumé et éteint.

En fonctionnement, les vidéos sur Youtube sont fluides, l’utilisation est agréable ; on n’est pas sur un foudre de guerre mais une machine tout à  fait honorable, en tout cas plus que la solution via sn … les dB en moins

Faire fonctionner OpenOffice sur NFSv3

Les versions récentes d’OpenOffice ne savent pas travailler correctement sur NFS3; au démarrage elles essaient de locker le fichier, ce qu’elle ne font pas correctement sur ce type de support. La solution la meilleure est de passer à NFS4 mais ceci n’est pas toujours le cas, comme par exemple lorsque vos fichiers sont sur un NAS un peu ancien comme c’est mon cas …
J’ai donc trouver cette solution qui consiste à désactiver le lock d’open Office en éditant le fichier /usr/bin/soffice (sur SLED 11) et en modifiant les lignes
# file locking now enabled by default
SAL_ENABLE_FILE_LOCKING=1
export SAL_ENABLE_FILE_LOCKING

Par
# file locking now enabled by default
#SAL_ENABLE_FILE_LOCKING=1
#export SAL_ENABLE_FILE_LOCKING

Bye Bye Canal

Coté service, à l’époque de la VOD à 3 euros le film à la demande, franchement … 30 à 40 euros par mois ca ne vaut plus le coup. Mais coté service c’est la catastrophe.

Je veux dire qu’il est totalement impossible de les joindre et le plus fou, c’est que même le numéro de leur service client est inexistant. Vous avez un problème technique, pas de numéro de téléphone, vous souhaitez vous désabonner pas mieux et pire encore, vous souhaiteriez vous abonner, toujours rien … Quand par chance vous trouvez un numéro sur un forum sur Internet vous avez un serveur vocal avec des choix qui ne correspondent pas et vous font tourner en boucle.

Je trouve cela totalement délirant …. ajoutez à celà que lorsque vous résiliez, les “revendeurs” se disent “non distributeurs” et refusent de reprendre votre matériel (ce qui veut dire, je veux bien ma com sur l’abonnement mais pas les cout afférents)

J’ai l’impression avec canal de rentrer dans l’aire du Buisness Process automatisé où la procédure d’abonnement automatique en ligne est la seule chose qui marche, on vous expédie un boite, on s’assure que vous êtes bien débité, et ensuite, vous n’existez plus, vous entrez dans un monde automatique, in-humain ou les robots ont le controle … ca semble délirant mais ca existe.

Il m’aura donc fallu 1h de recherche sur Internet et l’appel à 4 numéros pour en trouver un qui bien sur est saturé mais répond : 08050807600 …

Pour compléter cet article, je tiens à mentionner mon échange avec eux, après avoir trouvé le numéro … Alors qu’ils sont capable de me dirent à quelle date ils ont reçu mon décodeur (preuve qu’ils l’ont reçu et que leurs systèmes informatique détiennent cette information), il semble qu’ils refusent de rembourser la caution sans une seconde preuve de ma part comme le récépissé de la poste. Où, en d’autre terme, comment gagner des euros facilement en instaurant une procédure compliquée… au final … gardez votre décodeur et ne leur rendez pas, c’est plus simple et presque plus économique.

Test de performance du Zotak ION ITX C (Atom N230 @ 1.6GHz)

Reprenant les tests réalisés avec mon ancienne carte mère VIA, je vous livre les résultats issus de l’ATOM N230 – Zotak ION ITX C (CE). Le programme utilisé est toujours lmbench3.

En premier lieu voici les élément de noyau et mémoire cache.

   * athlon | kernel / freq / tlb page / cache line | 2.6.18 / 1513Mhz / 32 / 64o
   * epia... | kernel / freq / tlb page / cache line | 2.6.22 / 1781Mhz / 64 / 64o
   * atom   | kernel / freq / tlb page / cache line | 2.6.27 / 1600MHz / 16 / 128o
   * p4..... | kernel / freq / tlb page / cache line | 2.6.18 / 1700MHz / 55 / 128o

L’Atom est une solution économique et le cache est plutot minimaliste. C’est dommage puisqu’avant le prix c’est la chauffe qui est intéressante et ce ce point de vue le cache ne change pas grand chose, mais nous verrons si cela impacte les tests suivants. Le processeurs est par contre un 64 bits contrairement à  l’Epia C7 que je souhaite comparer.

Process, temps en microsecondes (le plus petit est le mieux) :

   * athlon | null call / null IO / open-close / slct TCP / fork / exec prog / sh prog | 0,3 / 0,47 / 4,67 / 35,5 / 205 / 1398 / 8236
   * epia... | null call / null IO / open-close / slct TCP / fork / exec prog / sh prog | 0,1 / 0,31 / 2,42 / 13.0 / 256 / 1173 / 7213
   * atom...| null call / null IO / open-close / slct TCP / fork / exec prog / sh prog | 0,2 / 0,42 / 6,58 / 6,53 / 329 / 1951 / 7232

Sur ces tests globalement l’atom est en dessous de l’epia mais au dessus de l’athlon ce qui en fait une machine correcte.

Calculs entiers (en nano secondes – le plus petit est le meilleur) :

   * athlon | calculs bits / addition / mult/ div / modulo | 0,69 / 0,02 / 2,83 / 28,9 / 28,2
   * epia... | calculs bits / addition / mult/ div / modulo | 0,56 / 0,02 / 0,61 / 29.0 / 30,1
   * atom...| calculs bits / addition / mult/ div / modulo | 0,63 / 0,41 / 0,31 / 39.5 / 38,8
   * p4..... | calculs bits / addition / mult/ div / modulo | 0,30 / 0,01 / 8,37 / 43,9 / 37,1

Un résultat très moyen sur le calcul entier, particulièrement sur les addition ; à  se demander s’il n’y a pas eu un soucis lors des tests. Les multiplication sont elles plutôt très bonnes par rapport aux autre machines. A noter que ces calculs n’étant pas 64b il est possible que l’on tombe sur une non optimisation.

Calculs flottant -float- ( en ns – le plus petit est le meilleur) :

   * athlon | calculs addition / mult/ div / bogo | 2,7 / 2,9 / 16,3 / 15,8
   * epia... | calculs addition / mult/ div / bogo | 3,9 / 4,2 / 40,8 / 51,4
   * atom...| calculs addition / mult/ div / bogo | 3,0 / 2,4 / 20,6 / 27,8
   * p4..... | calculs addition / mult/ div / bogo | 2,9 / 4,2 / 25,5 / 25,4

Grosse performance de l’unité de calcul en virgule flottante par rapport aux autres systemes

Calculs flottant -double- ( en ns – le plus petit est le meilleur) :

   * athlon | calculs addition / mult/ div / bogo | 2.72 / 2.74 / 47,5 / 15,6
   * epia... | calculs addition / mult/ div / bogo | 3,90 / 4,47 / 40,8 / 51,4
   * atom...| calculs addition / mult/ div / bogo | 3,0 / 3,11 / 38,8 / 46,6
   * p4..... | calculs addition / mult/ div / bogo | 2,90 / 4,20 / 25,5 / 25,4

Contrairement à  l’epia, l’atom calcule différemment en double et float ; il en résulte des performances similaire dans ce mode de calcul.

Latence des communications ( en microseconde – le plus petit est le mieux) :

   * athlon | context switch / AF UNIX / UDP / RPC-UDP / TCP / RCP-TCP / TCP-CON | 2,18 / 11,6 / 18,0 / 35,1 / 59,0 / 43,2 / 89
   * epia... | context switch / AF UNIX / UDP / RPC-UDP / TCP / RCP-TCP / TCP-CON | 0,90 / 8,55 / 10,7 / 16,5 / 13,2 / 20,1 / 48
   * atom...| context switch / AF UNIX / UDP / RPC-UDP / TCP / RCP-TCP / TCP-CON | 5,30 / 19,2 / 39 / 54,8 / 59,6 / 20,1 / 125

Comme vu dans la première partie du test, l’atom n’est pas très performant pour tout ce qui touche au système. Ce point peut aussi être lié au noyau ; ici non optimisé pour ce cpu.

Débit avec la mémoire ( en MB/s – le plus grand est le mieux) :

   * athlon | Mmap reread / bcopy libc / bcopy manuel / mem read / mem write | 554 / 240 / 278 / 617 / 385
   * epia... | Mmap reread / bcopy libc / bcopy manuel / mem read / mem write | 601 / 408 / 406 / 565 / 980
   * atom...| Mmap reread / bcopy libc / bcopy manuel / mem read / mem write | - / - / 990 / 3098 / 1142

Une bonne nouvelle qui aide à  comprendre pourquoi dans don usage le systeme Atom semble mieux fonctionner que le VIA, les accès mémoire sont beaucoup plus rapides ; les même barettes mémoire sont utilisées c’est donc sans doute l’architecture qui est ici à  l’épreuve.

Latence mémoire ( en ns – le plus petit est le mieux ) :

   * athlon | cache L1 / cache L2 / Main memory / random | 2.04 / 13.8 / 174 / 422
   * epia... | cache L1 / cache L2 / Main memory / random | 3.36 / 16.2 / 080 / 320
   * atom...| cache L1 / cache L2 / Main memory / random | 1.89 / 10.2 / 035 / 288
   * p4..... | cache L1 / cache L2 / Main memory / random | 1.21 / 29.2 / 151 / 284

Un cache plus performant sur l’atom, un acces mémoire lui aussi meilleurs conforte les informations précédentes.

En résumé, l’atom est une machine un peu moins performante que le via C7 en performance de calcul entier et sans doute dans l’exécution de code système. La raison est sans doute liée à  une fréquence de fonctionnement moins élevée (environ 10%) et sans doute une architecture plus light du processeur. L’unité de calcul en virgule flottante tient très bien la route par contre et surtout l’accès mémoire est particulièrement bon. Ce dernier point est fondamental puisque d’un point de vu “utilisateur” cette nouvelle solution est beaucoup plus agréable à  utiliser : vidéo plus fluides par exemple.

Et le silence fut !

Ca y est, le silence est parmi nous ! enfin son esprit zen envahit mon bureau … quel bonheur d’appuyer sur le bouton power et que rien ne se passe, enfin si, que l’écran, le système démarre mais rien, pas un bruit, pas un parasite, pas même un sifflement, le pied, ce que je cherchai à  obtenir est enfin là  !

Vous l’avez compris, je suis content de ma nouvelle acquisition qui se compose d’une carte mère Zotak ION ITX C (CE). Cette carte est basée sur un processeur ATOM N230 à  1.6GHz, équipée d’un gros radiateur mais sans le moindre ventilateur. La carte est en outre fournie avec une alimentation externe (adaptateur type portable) ce qui permet d’avoir un ensemble peu onéreux. Le stockage de masse est assuré par un adaptateur CF – SATA puisque la carte mère ne propose que 3 Sata comme extensions de ce type. Le tout est monté dans un boitier adapté au mini-itx sur lequel j’ai éliminé alimentation fournie et ventilateur. Le boitier de marque smart teck est très sympa, il laisse la place à  un lecteur DVD 5″1/4 et un disque 3’1/2 ; je dirai bien qu’un emplacement 2″1/2 manque, mais ce serait trop en demander et le lecteur CF/sata ne vibrant pas il est tout à  fait possible de le fixer sur l’emplacement 3’1/2. Le montage aura pris quelques minutes. Le temps ensuite d’installer un système (SLED 11) avant de vous livrer quelques résultats de test de cet ensemble. Je peux d’ores et déjà  vous annoncer un consommation électrique de l’ordre de 30 à  50W selon l’usage ce qui est équivalent à  mon système précédent basé sur un via SN 18000.

Bilan après 18 mois

Voila maintenant 18 mois que la machine tourne et je conclurai en disant que l’expérience est plutôt décevante ; pas totalement, mais disons que mes attentes ne sont pas atteintes et je vais vous détailler ceci … mais avant tout, sachez que tout n’est pas finit puisque je ne vais pas tarder à  recevoir une carte vraiment silencieuse … à  suivre !

Vous avez sans doute lu au travers de ce blog les difficultés que j’ai pu rencontrer lors de l’installation de la carte via sn 18000 et entre autre vu toutes les manipulations à  faire autour de la compilation du noyau. Mettant cela sur le compte de la jeunesse de la carte par rapport au noyau linux retenu, j’esperai 18 mois plus tard pouvoir reinstaller une nouvelle version de linux sans rencontrer tous ces encombres… il n’en est rien et à  l’heure actuelle, les sensors ne sont pas detectés, la carte compact flash est en bas débit … Bref, tout serait à  refaire. Je note tout de même un bon support du chip graphique, le lecteur graveur sata qui fonctionne et l’usb qui me semble maintenant opérationnel, mais bref, sur le fond ce n’est toujours pas vraiment supporté alors que les workaround sont connus (voir ce site) et que via se prétend supporter de Linux (viaarena) … Voila pour les plaintes coté softs.

Coté Firmware, je note que le nouveau bios permet de fixer la vitesse des ventilateur, ce qui me permet maintenant, sans changer le noyau de baisser cette vitesse à  quelque chose de raisonnable et pas trop bruyant. Mais ca tourne toujours et ca me gene !

Coté Hardware, je suis extrêmement déçu par le fonctionnement à  1.8G ou 700MHz alors que la carte existe en version 1GHz fanless ; 700MHz est clairement insuffisant. Par ailleurs, la performance 1.8Ghz n’est pas folichonne dans l’usage quotidien au regard de la fréquence (mais ca reste honorablement utilisable pour de la bureautique et du web sans trop de flash). Le ventillateur est beaucoup trop petit et de ce fait beaucoup trop bruyant, même si il est possible de fixer un ventillo plus gros comme vu sur le site, ce restera toujours un ventilo petit avec une attache émetrice de vibration, là  encore, l’usage noize-less est franchement limite. Autre point désagréable : la connectique USB 2.5mm non fournie et difficile à  trouver qui vous prive des ports usb en front-pannel (ce qui ne me genait pas lorsque l’usb ne fonctionnait pas, mais qui maintenant me trouble plus).

Pour ces raisons, j’ai décidé, après 18 moi d’utilisation quotidienne, de changer la solution pour me baser sur une carte à  base d’ATOM – nvidia – ION à  1.6GHz mono-core. J’ai eu l’occasion de tester un bi-core à  1.3Ghz qui n’était pas mal, donc à  voir pour cette solution qui me semble acceptable et qui, surtout, est une solution avec bloc alim + carte mère sans le moindre ventilateur ! Donc cette fois, le zero dB est garanti … reste à  voir la compatibilité Linux et la performance … Vous l’imaginez, tout ceci sera dans les colonnes de ce blog dans les semaines à  venir ! A bientot pour de nouvelles aventures fan-less avec peut être une petite surprise à  la clef !